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dépassement

L'acrobatie, les exercices d'équilibre, la danse matérialisent dans une large mesure l'effort de soustraction aux chaînes opératoires normales,la recherche d'une création qui brise le cycle quotidien des positions dans l'espace.

Auteur: Leroi-Gourhan André

Info: Le Geste et la Parole, tome II (1965)

[ sport ] [ corps-esprit ]

 

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être humain

L'anthropomorphisme en effet constitue une formule distincte de celle des singes, attestée par la seule famille anthropienne. Sa caractéristique fondamentale réside dans l'adaptation de la charpente corporelle à la marche en bipédie.

Auteur: Leroi-Gourhan André

Info: Le Geste et la Parole (1964-1965)

[ animal particulier ] [ debout ]

 

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évolution humaine

Les limites entre la préhistoire et l'histoire sont théoriquement fixées par l'apparition de l'écriture. Les temps immédiatement antérieurs aux textes et vaguement éclairés par ceux-ci constituent la protohistoire.

Auteur: Leroi-Gourhan André

Info: Histoire universelle

[ palier ]

 
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évolution

L'homme a commencé par les pieds.

Auteur: Leroi-Gourhan André

Info:

[ station debout ]

 

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extensions

Le langage et l'outil sont l'expression de la même propriété de l'homme.

Auteur: Leroi-Gourhan André

Info: Le Geste et la Parole, tome I (1964)

[ animal particulier ] [ instruments ]

 
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entendement

La " ruse de l’histoire " concernant notre conscience est d’en avoir fait une forme de référentiel " assez invariant ".

Peut-être pour stabiliser les liens sociaux une fois que le langage s’installe, et donc il est judicieux aussi de rappeler Leroi-Gourhan à ce sujet  dans Le geste et la parole  :  - les premiers " supports de mémoire " sont les objets qui gardent tracent des gestes, après quoi le néo-cortex se met à trouver avantage à  symboliser tout ça, et la  conscience est une forme de maintien de l’unité derrière le déferlement d’information portant sens.

Quand je dis " assez invariant " et " stabiliser les liens sociaux ", on voit (pour rire… jaune) dans le cas d’un Michel Onfray comment cela s’applique (avec strabisme de gauche à droite, suivant l’âge et la fortune éditoriale). 



 

Auteur: Timiota

Info: Blog de P. Jorion, 21 août 2024

[ homéostasie ] [ relativité ] [ marques ] [ traces ]

 

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ordre

Le droit, en effet, est le droit d’une nature à être ce qu’elle est ; or l’égalité n’est vraiment réalisée que sur plan purement quantitatif des unités numériques (1=1), elle tend donc, par sa propre force, à ramener toutes choses à une juxtaposition numérique, ce qui n’est possible que par la destruction de toutes les différences qualitatives qui constituent précisément les natures, si bien que le droit, dans l’égalité, est le droit de rien. En conséquence, l’absoluité du droit ne pouvant s’exprimer au moyen de la juxtaposition égalitaire, il ne reste, pour sauver le droit, que la superposition hiérarchique, dans laquelle le droit, renonçant à son absoluité, consent à sa relativité : c’est-à-dire à ce qu’un droit ait plus de droit qu’un autre. Mais pour que ce renoncement ne soit pas seulement résignation et compromis, il faut qu’il soit fondé sur autre chose qu’une contrainte. D’autre part, pour qu’il y ait subordination hiérarchique, il faut un principe de hiérarchisation qui règle la subordination des natures selon leur degré de proximité avec le principe. Ces deux exigences sont satisfaites dans une seule et unique opération : la soumission de la créature au Créateur, du relatif à l’Absolu. Tout droit est fondé à renoncer à son absoluité en face des droits de l’Absolu, et c’est même seulement par cette obéissance qu’il est fondé comme droit. Par cet acte de soumission, toutes les natures accèdent à une égalité formelle et qualitative, non pas horizontalement entre elles, mais verticalement par rapport à Dieu.

Auteur: Borella Jean

Info: Amour et vérité, L’Harmattan, 2011, Paris, pages 328-329

[ christianisme ] [ définition ] [ quantité-qualité ]

 

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anthropocentrisme

Le fait humain par excellence est peut-être moins la création de l'outil que la domestication du temps et de l'espace, c'est à dire la création d'un temps et d'un espace humain.


Auteur: Leroi-Gourhan André

Info: Le Geste et la Parole, tome 2 : La Mémoire et les Rythmes

 

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Ajouté à la BD par miguel

peintre

Les historiens de l’art considèrent [Nicolas] Froment avec un certain dédain. Il est vrai que sa peinture n’est plus tout à fait sacrée dans sa forme. Mais la signification et le symbolisme de ses toiles prouvent une science théologique et une élaboration mystique certaines.

Auteur: Borella Jean

Info: Amour et vérité, L’Harmattan, 2011, Paris, page 324

[ opinions ] [ christianisme ] [ valeur religieuse ]

 

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charité

Lors donc qu’on affirme : l’Amour est Dieu, ou l’Amour, c’est l’Être absolu, on veut définir l’Essence de l’Être absolu par l’un de ses modes. Non seulement on limite Dieu, mais encore on détruit l’Amour, attribut essentiel. Car c’est Dieu qui "absolutise" l’Amour, c’est en Dieu que l’Amour existe en perfection, et non point l’Amour qui absolutise Dieu.

En conséquence, dire que Dieu est Amour, c’est dire qu’en Dieu l’Amour est infini. Or l’Amour ne peut être infini que s’il s’applique à un objet infini. Cet objet infini ne peut être que Dieu. Il s’ensuit que, disant Dieu est Amour, nous disons Dieu s’aime lui-même d’un Amour infini. Lorsque cet Amour se répand sur les créatures, c’est encore Dieu qui s’aime lui-même à travers elles, puisque, s’il les aime, c’est pour les rendre semblables à lui. Aussi le feu de cet Amour déifiant est-il capable de brûler tous les mensonges et toutes les illusions de l’amour humain. Et c’est pourquoi nous devons "haïr nos frères" pour venir à Dieu, car, tant que nous ne sommes pas venus à Lui, nous ne pouvons pas aimer dans la vérité. […] L’Amour divin a quelque chose d’implacable qui va jusqu’à la crucifixion de son humanité. "Celui-là aime tous les hommes qui n’aime rien d’humain." [Maxime le Confesseur, De charitate, II, 54]

Auteur: Borella Jean

Info: Amour et vérité, L’Harmattan, 2011, Paris, page 322

[ christianisme ] [ naturel-surnaturel ]

 

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