Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 14
Temps de recherche: 0.0344s

ennui

La province : c'est l'instant vide. L'histoire sur une voie de garage. Le statu quo. Ce que l'étouffement peut nous faire : tomber d'un temps relatif dans un temps permanent.

Auteur: Braun Volker

Info:

[ village ] [ stagnation ]

 

Commentaires: 0

web

Internet s'avérait une redoutable machine de guerre. De par l'infinitude des opinions présentées on y trouvait à tous les coups celle qui vous correspondait, complexe ou simple. Un système qui vous confortait : le pire des abrutissement.

Auteur: Mg

Info: 26 décembre 2014

[ étouffement ] [ biais de confirmation ] [ corroborer ]

 

Commentaires: 0

USA

Le temps, comme souvent, bousillait tout. Peu à peu, le quartier avait vu la lèpre s'étendre sur lui et se nourrir de la misère grandissante. Les glorieuses sixties et seventies s'étaient délitées, victimes de l'étouffement de l'empire étasunien. Bientôt, le sable du désert reprendrait ce qui lui revenait de droit : cette terre ingrate que l'orgueil des hommes n'avait qu'effleurée, pour la durée d'un rêve bouffi de prétention.

Auteur: Whale Laurent

Info: Good bye Billy

[ décadence ]

 

Commentaires: 0

rapports humains

Au diable la vie bien remplie des hommes. Au diable leurs emplois du temps, leurs manigances, leurs agglutinations sourcilleuses, leurs trafics d'ambitions, leurs sympathies visqueuses, au diable la respectabilité, le confortable enfoncement dans la soumission rentable, la vie des bavardages d'esclaves, le ronron durci de l'habitude, le boucan des opinions bouchées, le manège des calculs et des jalousies, les réprobations sous-entendues, la surveillance infantile du ragot, l'ennui croûteux des "activités" et des "divertissements", les étouffements satisfaits dans la chiourme des horaires.

Auteur: Haenel Yannick

Info:

[ rengaines ] [ routine ] [ monotonie ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

autodéfense

Une amie à moi, chez qui je logeais à l'occasion lorsque je descendait du Massachusetts, emmenée de force dans une cave par un inconnu qui voulait en faire son jouet sexuel (ça se passait dans les années 80, du côté des avenues A, B et C à New-York) s'en est sortie en simulant un étouffement, copiant une forte crise d'asthme dont elle avait lu la description dans un roman. Le type, décontenancé, effrayé, on ne le saura jamais, s'en est allé.

Auteur: Mg

Info: juin 2011

[ ressource ] [ viol ] [ astuce ] [ femmes-hommes ] [ self-défense ]

 

Commentaires: 0

démographie

Les grandes épidémies meurtrières ont disparu. Elles ont toutes été remplacées par une seule : la prolifération des êtres humains eux-mêmes. La surpopulation constitue une sorte d'épidémie lente et irrésistible, inverse de la peste et du choléra. On peut seulement espérer qu'elle s'arrêtera d'elle-même, une fois repue de vivants, comme le faisait la peste, une fois repue de cadavres. Le même réflexe de régulation jouera-t-il contre l'excès de vie qu'il a joué jadis contre l'excès de mort ? Car l'excès de vie est plus mortel encore.

Auteur: Baudrillard Jean

Info:

[ surpeuplement ] [ étouffement ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

éloignement

C’est contre une injonction précise que je m’érige : faire des efforts, encore, toujours. Tout est question d’efforts. Lorsqu’on est un jeune adulte, il faut se trouver un but dans sa vie, il faut réussir, se poser avec femme et enfants, cultiver une vie mondaine. Mais pourquoi est-ce devenu obligatoire ?... Rester chez moi comme j’aspire à le faire est aussi un mode de vie. sans certitude que mon bonheur soit dans la réclusion, j’ai en tête une vie entrecoupée de retraites entre quatre murs. Ce besoin n’est-il pas naturel chez l’homme ?

Auteur: Saada Andréas

Info: Dans "En retrait du monde, je suis un hikkikomori", page 91

[ conformité sociale ] [ étouffement ] [ fuite ] [ refus social ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

province

Madame Staël n'aimait pas les petites villes. "Leur séjour m'a toujours paru très ennuyeux, L'esprit des hommes s'y rétrécit, le coeur des femmes s'y glace ; on y vit tellement en présence les uns des autres qu'on est oppressé par ses semblables. Ce n'est plus cette opinion à distance qui vous anime et retentit de loin comme le bruit de la gloire ; c'est un examen minutieux de toutes les actions de votre vie, une observation de chaque détail, qui rend incapable de comprendre l'ensemble de votre caractère; et plus on a d'indépendance et d'élévation moins on peut respirer à travers tous ces petits barreaux."

Auteur: Staël Madame de Germaine Necker baronne de Staël-Holstein

Info: in Staëlliana de Cousin d'Avallon

[ étroitesse ] [ étouffement ]

 

Commentaires: 0

femmes-hommes

Pour commencer, l'immense majorité des tueurs en série sont des hommes, expliqua Hunter. Les tueuses en série ont en général un intérêt purement matériel ou financier. Ce qui peut arriver aussi avec leurs homologues masculins mais beaucoup plus rarement. Les mobiles d'ordre sexuel sont les plus fréquents chez eux. Les études ont aussi révélé que les femmes criminelles tuent en général des proches, maris, membres de la famille ou personnes qui dépendent d'elles. Pour les hommes, ce sont en général des étrangers. Les tueuses en série ont aussi tendance à agir plus discrètement, avec du poison ou des méthodes moins violentes, comme l'étouffement. Les tueurs en série, au contraire, sont très portés sur les tortures et les mutilations. Quand les femmes sont impliquées dans des homicides sadiques, elles jouent en général le second rôle aux côtés d'un homme.

Auteur: Carter Chris

Info: La marque du tueur, p.119

[ assassin ]

 

Commentaires: 0

littérature

La terre avait disparu sous ses pieds. Il faisait du stop sur un Dieu ; la vie banale qu'il avait vécue n'était désormais plus rien pour lui, ne serait plus jamais rien. Il vivrait avec cette chose, oui, il vivrait avec elle, ne ferait que la voir et la dévorer des yeux jusqu'à en mourir d'étouffement.
Il cria, hurla et se balança sur les cordes, buvant à pleine bouche son triomphe. Loin, loin en dessous, il aperçut le corps de Judd, pâle et gisant, recroquevillé sur le sol assombri, irrécupérable. L'amour, la vie et la raison avaient disparu, disparu comme le souvenir de son nom, de son sexe et de son ambition. [...]
Popolac marchait, et le bruit de ses pas s'éloignait vers l'est. Popolac marchait, et le bourdonnement de sa voix se perdait dans la nuit.

Auteur: Barker Clive

Info: Livre de sang

[ esprit ] [ fantastique ]

 

Commentaires: 0