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mythologie
Amulius, dit-on, avait fait de la fille de son frère Numitor, une vierge consacrée à Vesta. Son nom est Rhéa ou Ilia, mère de Romulus : on prétend, pour glorifier ou excuser son déshonneur, qu’elle eut deux jumeaux du dieu Mars, et la preuve que l’on invoque, c’est que les deux enfants exposés furent allaités par une louve : animal qui, dit-on, appartient à Mars. Cette louve aurait offert la mamelle à ces enfants, parce qu’elle aurait en eux reconnu les fils de son maître. Selon d’autres, et ceux-là ne manquent pas, ces jumeaux vagissaient abandonnés, quand ils furent d’abord recueillis par une courtisane qui, la première, leur donna le sein. On appelait alors les courtisanes louves, lupa : d’où est venu aux lieux infâmes le nom de lupanar. Ils auraient été remis entre les mains du berger Faustulus et nourris par sa femme Acca. Et quand, à la honte de ce roi qui avait eu la cruauté de les condamner à périr sous les eaux, dérobant au fleuve ces enfants prédestinés à fonder un si grand empire, Dieu eût offert à leurs cris la mamelle d’une louve, faudrait-il donc tant s’étonner ? Le sceptre du Latium passe d’Amulius à Numitor, aïeul de Romulus ; et, la première année de son règne, Rome est bâtie. Ainsi désormais, il règne conjointement avec son petit-fils Romulus.
Auteur:
Saint Augustin Aurelius Augustinus
Années: 0354 - 0431
Epoque – Courant religieux: empire romain
Sexe: H
Profession et précisions: évêque d'Hippone, philosophe chrétien
Continent – Pays: France - Algérie
Info:
La cité de Dieu, volume 3, traduction du latin de Louis Moreau revue par Jean-Claude Eslin, éditions du Seuil, mai 1994, page 35
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fondation
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origine
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légende
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gouvernement
Mais nous disons heureux les princes s’ils règnent avec justice, si dans l’enivrement de tant de flatteries, de tant d’hommages qui vont jusqu’à la servilité, leur cœur ne s’élève pas et se souvient qu’ils sont hommes ; s’ils mettent leur puissance au service de la Majesté suprême pour étendre au loin le culte de Dieu ; s’ils craignent ce Dieu, s’ils l’aiment, s’ils l’honorent, si leur prédilection est acquise à ce royaume où ils n’appréhendent point de trouver des égaux ; s’ils sont lents à punir, prompts à pardonner ; s’ils ne décernent le châtiment que dans l’intérêt de l’ordre et de la paix publique, et jamais pour satisfaire leur haine ou leur vengeance ; s’ils pardonnent non pour assurer au crime l’impunité, mais dans l’espoir de l’amendement du coupable ; si parfois contraints d’user de rigueur, ils tempèrent cette nécessité par la clémence et la libéralité : s’ils sont d’autant plus retranchés dans leurs plaisirs qu’il leur serait plus facile d’y excéder ; s’ils préfèrent commander à leurs passions déréglées qu’à tous les peuples de la terre ; et s’ils vivent ainsi, non par besoin de vaine gloire, mais pour l’amour de la vie éternelle ; si pour leurs péchés, ils offrent à Dieu un sacrifice assidu d’humilité, de miséricorde et de prière ; oui, heureux les empereurs chrétiens qui vivent ainsi ; heureux dès ce monde en espérance et plus tard en réalité, quand le jour sera venu que nous attendons !
Auteur:
Saint Augustin Aurelius Augustinus
Années: 0354 - 0431
Epoque – Courant religieux: empire romain
Sexe: H
Profession et précisions: évêque d'Hippone, philosophe chrétien
Continent – Pays: France - Algérie
Info:
La cité de Dieu, volume 1, traduction en latin de Louis Moreau (1846) revue par Jean-Claude Eslin, Editions du Seuil, 1994, pages 146-147
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idéal
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vertueux
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jugement dernier
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modération
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conscience
La vie heureuse, n'est-ce pas cela même que tous désirent, et que personne au monde ne se refuse à désirer Où ont-ils appris à la connaître, pour la désirer ainsi ? où l'ont-ils vue, pour l'aimer ? Sans doute la possédons-nous d'une manière que j'ignore. Ii y a une certaine manière qui fait que chacun, au moment où il la possède, est alors heureux; il en est aussi qui sont heureux en espérance. La manière dont ceux-ci possèdent la vie heureuse ne vaut pas l'autre, où ceux-là sont heureux déjà par la réalité même; mais pourtant elle vaut mieux que celle des gens qui ne sont heureux ni en réalité ni en espérance. Et encore ces derniers eux-mêmes, s'ils ne possédaient pas de quelque manière la vie heureuse, ne désireraient pas tant être heureux; or ils le désirent, rien de plus certain. Je ne sais de quelle manière ils ont appris à la connaître, et voilà pourquoi ils la possèdent dans je ne sais quelle notion; et je fais tout pour savoir si cette notion est dans la mémoire, car, si elle est là, c'est que déjà nous avons été heureux autrefois. Le fûmes-nous tous individuellement, ou dans l'homme qui commit le premier péché, en qui aussi nous sommes tous morts et de qui nous sommes tous nés avec la misère ? Je ne cherche pas cela pour le moment, mais je cherche si la vie heureuse se trouve dans la mémoire. En vérité, nous ne l'aimerions pas, si nous ne la connaissions pas.
Auteur:
Saint Augustin Aurelius Augustinus
Années: 0354 - 0431
Epoque – Courant religieux: empire romain
Sexe: H
Profession et précisions: évêque d'Hippone, philosophe chrétien
Continent – Pays: France - Algérie
Info:
Les Aveux, Traduction de E. Tréhorel et G. Bouissou
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verbalisation
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langage
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idées platoniciennes
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réminiscence
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connaissance intellectuelle.
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Bible
[…] c’est alors que l’Egypte commence à avoir des Ptolémées pour rois. Le premier de tous, fils de Lagus, emmène de Judée en Egypte un grand nombre de captifs. Un autre Ptolémée, son successeur, appelé Philadelphes, leur permet à tous, qui étaient venus esclaves, de s’en retourner libres. Il envoya même de royales offrandes au temple de Dieu et demanda à Eléazar, alors grand-prêtre, de lui donner des Ecritures que la renommée lui avait sans doute annoncées comme divines, et qu’il désirait placer dans cette célèbre bibliothèque formée par ses soins. Le grand-prêtre les lui ayant données en hébreu, Ptolémée demanda des interprètes, et septante-deux hommes, six de chacune des douze tribus, versés dans l’une et l’autre langue, le grec et l’hébreu, lui furent envoyés. La coutume a prévalu d’appeler cette version la version des Septante. On rapporte qu’il y eut dans le choix de leurs expressions un accord si merveilleux, si étonnant et vraiment divin, que chacun d’eux ayant séparément accompli cette œuvre (car il plut au roi Ptolémée d’éprouver ainsi leur fidélité), ils ne présentèrent entre eux aucune différence pour le sens, la valeur ou l’ordre même des mots ; mais comme s’il n’y eût eu qu’un seul interprète, l’interprétation de tous était une ; parce qu’en effet l’Esprit en tous était un. Et ils avaient reçu de Dieu ce don admirable, afin que l’autorité de ces Ecritures obtînt, non comme œuvre humaine, mais comme œuvre divine, la vénération des Gentils qui devaient croire un jour ; et ce jour, nous le voyons arrivé.
Auteur:
Saint Augustin Aurelius Augustinus
Années: 0354 - 0431
Epoque – Courant religieux: empire romain
Sexe: H
Profession et précisions: évêque d'Hippone, philosophe chrétien
Continent – Pays: France - Algérie
Info:
La cité de Dieu, volume 3, traduction du latin de Louis Moreau revue par Jean-Claude Eslin, éditions du Seuil, mai 1994, pages 67-68
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légende
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origine
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rédaction
]
paganisme
Voilà donc à quels dieux les Romains s’applaudissaient de confier la tutelle de Rome ! Ô erreur digne d’une immense pitié ! […] Virgile, dis-je, nous représente Junon, ennemie des Troyens, soulevant contre eux Eole, le roi des tempêtes :
"Une race que je hais, s’écrie-t-elle, fait voile sur la mer Tyrrhénienne ; elle porte en Italie Ilion et ses pénates vaincus. [Enéide, I, 67]"
Est-ce donc à ces pénates vaincus que la prudence devait recommander Rome pour lui assurer la victoire ? Junon parle en femme irritée, ne sachant ce qu’elle dit. Mais quoi ? Ecoutez Enée lui-même, le pieux Enée :
"Panthus, fils d’Othrys, prêtre de la citadelle et du temple d’Apollon, chargé des choses sacrées, de nos dieux vaincus, traînant par la main son petit-fils, accourt éperdu au seuil de ma demeure. [II, 319]"
Et ces dieux, que le héros ne craint pas de dire vaincus, ne sont-ils pas, de son aveu, plutôt confiés à sa tutelle que lui-même à la leur, lorsqu’il entend cette parole : "Troie le confie à son culte et ses pénates [II, 293]" ?
Ainsi ces dieux, et quels dieux, Virgile les déclare vaincus, et pour échapper aux vainqueurs, n’importe par quelle voie, confiés à un homme ! Et Rome sagement commise à de tels protecteurs ? Et sans leur perte, sa perte impossible ? Quelle folie ! Quoi donc ? Honorer comme tuteurs et patrons ces dieux vaincus, qu’est-ce, sinon vouer ses destinées plutôt à de néfastes auspices qu’à des divinités bienfaisantes ?
Auteur:
Saint Augustin Aurelius Augustinus
Années: 0354 - 0431
Epoque – Courant religieux: empire romain
Sexe: H
Profession et précisions: évêque d'Hippone, philosophe chrétien
Continent – Pays: France - Algérie
Info:
La cité de Dieu, volume 1, traduction en latin de Louis Moreau (1846) revue par Jean-Claude Eslin, Editions du Seuil, 1994, pages 37-38
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culte injustifié
]
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christianisme
]
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comparaison
]
liberté
Mais que tout arrive par le destin, c’est ce que nous ne disons pas, nous disons plutôt que rien n’arrive par le destin ; car le destin, au sens ordinaire de ce mot, en tant qu’il désigne la constitution céleste qui préside à la conception ou à la naissance, n’est qu’un vain nom, vain comme l’objet qu’il exprime. Quant à l’ordre des causes où la volonté de Dieu exerce un souverain pouvoir, nous sommes également loin de le méconnaître et de l’appeler du nom de destin, à moins que nous ne dérivions le Fatum de fari, parler ; il est, en effet, impossible de nier qu’il soit écrit dans les Livres saints : "Dieu a parlé une fois et j’ai entendu ces deux choses : la puissance appartient à Dieu ; à toi, Seigneur, est la miséricorde et tu rends à chacun selon ses œuvres" [Ps 61,12]. Quand il est écrit "Dieu a parlé une fois", il faut entendre une parole immuable, parce qu’il connaît tout ce qui sera, tout ce qu’il fera lui-même, d’une connaissance immuable. Nous pourrions donc dériver le Fatum du mot fari, parler, si le Fatum n’était d’ailleurs pris dans un sens où nous ne voulons pas que les hommes laissent incliner leur cœur. Mais de ce que l’ordre des causes est certain dans la puissance de Dieu, il ne s’ensuit pas que notre volonté perde son libre-arbitre. Car nos volontés elles-mêmes sont dans l’ordre des causes, certain en Dieu, embrassé dans sa prescience, parce que les volontés humaines sont les causes des actes humains. Et assurément celui qui a la puissance de toutes les causes ne peut dans le nombre ignorer nos volontés qu’il a connues d’avance comme causes de nos actions.
Auteur:
Saint Augustin Aurelius Augustinus
Années: 0354 - 0431
Epoque – Courant religieux: empire romain
Sexe: H
Profession et précisions: évêque d'Hippone, philosophe chrétien
Continent – Pays: France - Algérie
Info:
La cité de Dieu, volume 1, traduction en latin de Louis Moreau (1846) revue par Jean-Claude Eslin, Editions du Seuil, 1994, page 219
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créature-créateur
]
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christianisme
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étymologie
]
mythologie
Mais d’où est venu à cette ville le nom d’Athènes, nom qu’évidemment elle emprunte à Minerve, appelée en grec " Ἀθηνᾶ " ? Voici l’origine que Varron signale. Un olivier était soudain sorti de terre ; ailleurs, une source d’eau vive venait de jaillir. Frappé de ce prodige, le roi envoie consulter l’oracle de Delphes, pour savoir ce qu’il faut penser, ce qu’il faut faire. L’oracle répond que l’olivier est l’emblème de Minerve, l’eau celui de Neptune, et qu’il était au pouvoir des citoyens de choisir, pour nommer leur ville, entre les noms de ces deux divinités. A cette réponse de l’oracle, Cécrops appelle aux suffrages les citoyens de l’un et de l’autre sexe : car selon l’ancien usage de ce pays, les femmes mêmes avaient voix dans les délibérations publiques. La multitude est consultée. Les hommes se prononcent en faveur de Neptune, les femmes en faveur de Minerve ; et comme il se trouve une femme de plus, Minerve l’emporte. Alors Neptune irrité précipite sur la terre des Athéniens les flots de la mer. Est-il donc si difficile aux démons de répandre au loin quelque masse d’eau que ce soit ? Pour apaiser la colère de ce dieu, les Athéniens, suivant le même auteur, frappèrent les femmes d’une triple déchéance : elles ne durent plus à l’avenir être admises aux suffrages ; nul enfant en naissant ne dut recevoir désormais le nom de sa mère ; enfin il ne fut plus permis de les appeler "Athéniennes". Ainsi, c’est à la raillerie des démons qui se jouent dans le débat de ces deux divinités, mâle et femelle, c’est à la victoire procurée par les femmes à la femme, que cette cité nourrice des arts libéraux, mère de tant d’illustres philosophes, cette cité, la gloire de la Grèce, doit le nom d’Athènes. Et cependant, frappée par le dieu vaincu, elle est forcée de punir la victoire même de la déesse, redoutant plus les eaux de Neptune que les armes de Minerve. Et dans les femmes ainsi châtiées, Minerve victorieuse est vaincue. Et elle ne vient pas en aide à celles qui l’ont assistée de leurs suffrages, afin qu’en dédommagement du droit dont elles sont déchues, et de cette rigueur qui rend les fils étrangers au nom de leurs mères, il leur soit du moins permis de s’appeler Athéniennes et de porter le nom de la déesse qui doit sa victoire à leurs suffrages !
Auteur:
Saint Augustin Aurelius Augustinus
Années: 0354 - 0431
Epoque – Courant religieux: empire romain
Sexe: H
Profession et précisions: évêque d'Hippone, philosophe chrétien
Continent – Pays: France - Algérie
Info:
La cité de Dieu, volume 3, traduction du latin de Louis Moreau revue par Jean-Claude Eslin, éditions du Seuil, mai 1994, pages 20-21
[
légende
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étymologie
]
idées
[…] Varron, dans son livre De la philosophie, classe avec autant d’exactitude que de pénétration une telle multitude d’opinions dogmatiques, qu’il arrive sans difficulté jusqu’au nombre de deux cents quatre-vingt-huit sectes, sinon réelles, du moins possibles, certaines différences admises.
Je vais montrer en peu de mots comment il procède ; et d’abord je pose en principe, ainsi que lui-même le fait dans son ouvrage, qu’il est quatre choses que sans le secours d’aucun maître ou d’aucune discipline, sans cette éducation ou cet art de vivre que l’on appelle vertu et qui s’apprend évidemment, les hommes recherchent comme par instinct naturel : ou la volupté, cette enivrante excitation des sens ; ou le repos, cette complète exemption de toute souffrance corporelle, ou l’une et l’autre qu’Epicure réunit sous le nom de volupté ; ou en général les premiers biens de la nature qui comprennent les précédents et d’autres encore : au physique, la santé et l’intégrité des organes ; au moral, les dons inégalement répartis de l’intelligence. Or, ces quatre choses, volupté, repos, volupté et repos, les premiers biens de la nature, sont tellement en nous que, pour elles, il faut rechercher la vertu, ce fruit ultérieur de l’éducation ; ou les rechercher pour la vertu, ou elles-mêmes pour elles-mêmes : distinction qui donne naissance à douze sectes. […]
Il y a douze sectes de philosophes qui ne s’attachent chacun à sa secte que dans leur propre intérêt, et douze qui prétendent devoir embrasser tel ou tel genre de philosophie, non seulement pour eux-mêmes, mais encore pour les autres dont le bien ne leur est pas moins à cœur que leur bien propre. Or, ces vingt-quatre nouvelles sectes doublent encore en ajoutant la différence tirée de la nouvelle Académie, et s’élèvent à quarante-huit. Car de ces vingt-quatre sectes chacune peut être embrassée et défendue comme certaine : ainsi les stoïciens tiennent pour certain que le souverain bien de l’homme consiste uniquement dans la vertu de l’âme ; chacune peut être encore soutenue comme incertaine, ainsi les nouveaux académiciens qui n’admettent rien en tant que certain, mais seulement en tant que vraisemblable. Voilà donc vingt-quatre sectes qui attribuent à leur doctrine la certitude de la vérité et vingt-quatre qui suivent leurs opinions malgré l’incertitude de la vraisemblance, et comme on peut suivre ces quarante-huit sectes en s’attachant soit au genre de vie des autres philosophes, soit à celui des cyniques, cette différence les double et en fait quatre-vingt-seize. Enfin, comme l’on peut embrasser chacune de ces sectes, sans répudier les charmes de la vie privée ; les uns en effet n’ont pu ou voulu se livrer qu’à l’étude : ou, sans renoncer aux affaires, combien d’autres que le zèle de la philosophie n’a pas distraits du gouvernement de la république et du mouvement des choses humaines ? Ou sans déranger ce juste tempérament d’activité et de loisir suivant lequel plusieurs ont partagé leur vie entre la nécessité des affaires et la liberté de l’étude, ces différences peuvent tripler le nombre des sectes et le porter à deux cent quatre-vingt-huit.
Auteur:
Saint Augustin Aurelius Augustinus
Années: 0354 - 0431
Epoque – Courant religieux: empire romain
Sexe: H
Profession et précisions: évêque d'Hippone, philosophe chrétien
Continent – Pays: France - Algérie
Info:
La cité de Dieu, volume 3, traduction du latin de Louis Moreau revue par Jean-Claude Eslin, éditions du Seuil, mai 1994, pages 95-96
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catégorisations
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antiquité
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théologien-sur-philosophe
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