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musique

... En écouter est devenu, par la technique, une banalité quotidienne.

Auteur: Bernhard Thomas

Info: Maîtres anciens

[ décorative ] [ facilité ] [ routine ]

 

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musique

Un bon nombre de gens chantent combien le monde est pourri, et je ne pense pas que tout le monde veuille entendre parler de ça tout le temps.

Auteur: Carey Mariah

Info:

[ décorative ] [ commerce ]

 

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beaux-arts

Deux tendances stylistiques se manifestent au milieu du XVIe siècle à Rome : un retour aux sujets allégoriques et mythologiques et à la richesse décorative au début du siècle, et une recherche de sobriété dans le traitement des thèmes religieux.

Auteur: Bussagli Marco

Info: L'art de Rome

[ Renaissance ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

spiritualité

La religion doit affirmer, dans les termes les plus clairs, que la moralité et les valeurs éthiques ne sont pas de simples fioritures décoratives de l'opinion personnelle, ni une superstructure subjective, mais des lois intrinsèques du cosmos intégrées au cœur de la réalité.

Auteur: Bhikkhu Bodhi

Info:

[ . ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

impuissance

Un tapage de citations résonne dans ma tête, à la recherche d’une sagesse consolatrice : "Ce qui ne me tue pas me rend plus fort… On peut ajourner son suicide jusqu’à sa mort… Vivre c’est apprendre à mourir…" C’est en de tels moments que la philosophie révèle sa volubile et décorative inefficacité !

Auteur: Makine Andreï

Info: Au-delà des frontières

[ langage ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

art pictural

La difficulté avec la couleur est d'aller au-delà du fait que c'est de la couleur? Que ce ne soit pas seulement une image colorée, mais vraiment l'image de quelque chose. C'est difficile. Tellement souvent, les couleurs sont prises pour telles et deviennent décoratives. Certains photographes les utilisent brillamment pour exposer une combinaison visuelle des coloris et du contenu. Sinon c'est vide.

Auteur: Mark Mary Ellen

Info:

[ teintes ]

 

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hommes-par-femme

Impossible de ne pas le constater : ceux qui se sont faits ces dernières années les preux défenseurs des musulmanes opprimées et les contempteurs du "puritanisme américain", à commencer par Pascal Bruckner, Alain Finkielkraut et Bernard Henry-Lévy, sont aussi ceux qui se sont distingués par leur comportement grossièrement misogyne. Ce qu’ils célèbrent à travers les "rapports de séduction à la française", c’est le modèle rêvé –pour eux- de la femme qui ne la ramène pas, de la jolie chose décorative qui flatte leur mégalomanie et ne menace pas le monopole masculin de la péroraison, de la logorrhée permanente.

Auteur: Chollet Mona

Info: Beauté fatale

[ pédants ] [ machistes ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

aveuglement

Bien sûr, de Grenoble (nous parlons de Grenoble, c’est-à-dire N’importe où, Technopoland), on ne peut considérer qu’avec condescendance ces révoltes paysannes et l’activité de ces deux enquêteurs chinois. A Grenoble, Technopoland, on fait tellement mieux en matière de contestation et de résistance.
On cultive son jardin et ses analyses, si délicates, si décoratives, et on se les échange sous pli fermé, miracle de la philatélie subversive, de crainte qu’elles n’échouent entre les mains du vulgaire. On cultive le patrimoine : encore et toujours le Vercors, Mai 68, la mémoire. On "résiste" toujours, soixante ans après, au nazisme ou à Franco : plus jamais ça. On cultive la solidarité internationale : Bolivie, Palestine, Afghanistan, le regard rivé au sommaire du Monde diplomatique, sans jamais s’en prendre aux entreprises et laboratoires locaux, Schneider, Sofradir-Ulis, le Commissariat à l’énergie atomique, Minatec, Memscap, etc., d’où sortent les drones, les capteurs, les caméras vidéo, les équipements infrarouges, des guerres exotiques. On salonne entre deux buffets "équitables" autour de la "Queer Theory". On ne change pas une tactique qui perd : recroquevillés dans leur bocal "affinitaire", les radicaux Duracell lancent leur énième appel à soutien, après leur énième éviction policière. Pas question d’explorer l’endroit où ils vivent ; les quartiers populeux et périphériques, si magnifiés dans leur mythologie, les zones chimiques et les champs d’OGM du Nord-Isère.

Auteur: PMO Pièces et main-d'oeuvre

Info: Dans "Aujourd'hui le nanomonde", pages 21-22

[ bobo ] [ politiquement correct ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

autoportrait

Je suis probablement ce qu’on appelle un décadent, et il doit exister en moi (comme définition extérieure de mon esprit) de ces scintillations tristes, d’une étrangeté postiche, qui cristallisent en mots imprévus une âme exotique et véhémente. Je sens que je suis ainsi fait, et que je suis absurde. C’est pourquoi je tente, pour imiter une hypothèse des auteurs classiques, de figurer tout au moins, par le biais d’une mathématiques expressive, les sensations décoratives de mon âme de remplacement. Il arrive un moment, au cours de mes méditations écrites, où je ne sais plus bien où se trouve le centre de mon attention - dans les sensations éparses que j’essaye de décrire, telles des tapisseries inconnues, ou bien dans les mots au milieu desquels, en voulant décrire ma description elle-même, je finis par m’embrouiller, m’égarer et voir d’autres choses par-delà. Je sens se former en moi des associations d’idées, de mots et d’images - tout cela de façon lucide et diffuse en même temps -, et je dis tout autant ce que j’éprouve que ce que je crois éprouver ; je ne distingue plus ce que mon âme me suggère des images qui fleurissent sur le sol où elle les a laissé choir ; je ne discerne même plus si le son d’un mot barbare, ou le rythme d’une phrase intercalée, ne m’éloignent pas du sujet déjà bien défini, de la sensation engrangée, et ne me dispensent pas ainsi de penser et de dire, comme des grands voyages faits pour me distraire. Et tout cela qui, avec la répétition, devrait me donner une impression de futilité, d’échec, de souffrance enfin, ne réussit qu’à me donner des ailes dorées. Dès que je me mets à parler d’images - et peut-être parce que j’allais en condamner l’abus -, voilà que naissent en moi d’autres images ; dès que je me dresse en moi-même pour refuser ce que je n’éprouve pas, me voilà précisément en train de l’éprouver, et mon refus lui-même devient une impression tout ornée de broderies ; lorsque, ayant finalement perdu confiance en mes efforts, je veux me laisser aller aux voies de traverse, voici qu’un terme bien classique, un adjectif spatial et sobre, me font voir clairement devant moi, avec l’éclat d’un rayon de soleil, la page écrite somnolentement, et les lettres nées de l’encre de ma plume sont alors une carte absurde aux signes magiques. Et je me dépose en même temps que ma plume, et je m’enveloppe dans la longue cape de l’inertie, adossé à mon siège, épars, lointain, intervallaire et succube, final comme un naufragé se noyant en vue d’îles merveilleuses, au sein même de ces mers dorées de mauve dont, sur des couches lointaines, il avait véritablement rêvé.

Auteur: Pessoa Fernando (Alv. de Campos)

Info: Le livre de l'intranquillité

[ introspectif ] [ langage ] [ onirisme ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste