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justification pour rompre

Non je ne pourrai pas te revoir... en fait si j'ai été sympa avec toi c'était juste pour pouvoir draguer le gars qui était avec toi.

Auteur: Internet

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[ provocation ]

 

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femmes-par-hommes

Je pense des femmes comme Vauban des citadelles : toutes sont faites pour être prises. Toute la question est dans le nombre de jours de tranchées.

Auteur: Hugo Victor

Info:

[ à conquérir ] [ faire la cour ] [ draguer ]

 

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dépendance

[Cyrus]> Merde la vie est mal faite.
[Cypher]> Hmm, et pourquoi ça ?
[Cyrus]> Bah par exemple, on peut pas sauvegarder avant d'aller draguer une meuf.
[Cypher]> Pas faux.

Auteur: Internet

Info:

[ jeu ] [ geek ] [ dialogue-web ]

 

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femmes-hommes

Une jeune femme entre dans le train; deux troufions commencent à la draguer: "Vous allez où, comme ça?"
"A Lille"
"Avec deux L ?"
"Non, avec deux C."

Auteur: Internet

Info:

[ râteau ] [ humour ] [ répartie-féminine ]

 

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femmes-par-hommes

<Zep_> j'aime bien mickey 3d :x
<Zep_> le tout c'est de pas trop écouter les paroles
<gorguth> ni la musique
<|Mksh|> ni le nom du groupe
<gorguth> en gros, le tout est de dire qu'on aime bien qd il s'agit de draguer une pouffe qui écoute cette merde.

Auteur: Internet

Info:

[ dialogue-web ] [ drague ] [ pragmatisme ]

 

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hommes-par-femme

Il ne dialogue pas avec les femmes qu'il séduit, car il sent un piège, l'obligation de l'engagement. Déjà draguer, c'est faire un gros pas en avant... Ce qu'il aimerait, c'est pouvoir dire " Je te rencontre, c'est comme ça, crac, on vit ensemble du jour au lendemain. On ne cherche pas midi à quatorze heures, on vit ensemble parce qu'on a envie de vivre ensemble, on s'aime, on voit ce que ça donne..."

Auteur: Internet

Info: Jeune femme anonyme, citée par Christine Castelain Meunier, L'Amour en Moins

[ égoïstes ] [ misandre ]

 

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femmes-hommes

Souvent, ils ne comprennent pas ce qui leur arrive. La femme demande le divorce. Ils manquent tellement de recul qu'ils n'ont toujours pas compris ce qui leur était arrivé. Ils doivent quitter leur appartement... Ils " flippent. " Ils se transforment en " légumes ". Ne savent pas comment prendre soin d'eux-mêmes. Quand ils font un effort presque démesuré, pour se mettre à draguer après le repas qu'ils ont offert à une femme, celle-ci se sauve en courant, comme prise de panique. Ils ont même l'impression de faire un peu peur, ou alors d'être collants.

Auteur: Anonyme

Info: Citée par Christine Castelain-Meunier dans, L'Amour en moins

[ hommes-par-femmes ] [ Faibles ]

 

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femme-par-homme

Je la joue donc profil bas. Il suffit à mon bonheur d’être installé près des voluptueuses fesses de Jacqueline. C’est elle que je cible, en fin de compte. Elle a une peau parfaite, même si tout le reste est quelque peu noyé dans la graisse, et ses frisettes viennent tout droit du salon de Madame Madeleine, sa copine coiffeuse, bac moins douze, grande lectrice de Gala, qui doit lui donner des nouvelles d’Albert de Monaco chaque fois qu’elle va se faire faire une permanente. N’empêche, elle est fraîche, authentique. C’est aussi la plus jeune du groupe.

Auteur: Liebig Etienne

Info: Comment draguer la catholique sur les chemins de Compostelle

[ envisagée ] [ attirante ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

femmes-hommes

D’ailleurs, en matière d’égalité des genres, Marianne commençait seulement à se rendre compte de cette terrible injustice biologique : un mec n’avait aucune horloge interne à respecter ! Aucun compte à rebours ! Un vieux gars pouvait même se décider à draguer à cinquante ans et devenir père à soixante. Mais une vieille fille, si elle se réveillait trop tard… Adios, le petit Jésus, la chair de sa chair, le fruit de ses entrailles. Game over ! Même si le prince charmant finissait par se pointer en s’excusant du retard. Game over ! Du coup, Colombine n’avait pas le choix, si elle voulait avoir son Polichinelle à elle, elle devait illico trouver le bon Pierrot.

Auteur: Bussi Michel

Info: Maman a tort

[ femmes-par-hommes ] [ procréation ] [ vert galant ]

 

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traumatisme

Elle donne de l'amour aux morts.
"Jamais de ma vie je ne me suis sentie aussi maladroite - sauf peut-être pour mon premier baiser ou la première fois que j'ai fait l'amour. Je peux vous dire que le temps paraît drôlement long quand on se retrouve tout seul avec un vieillard mort, un rasoir rose à la main".
Caitlin Doughty, belle brune née à Hawaï, est extrêmement connue aux Etats-Unis pour sa série de vidéos Internet "Demandez à un croque-mort" (Ask a mortician). Entrepreneur en pompes funèbres, elle milite en faveur de pratiques funéraires plus humaines et surtout plus "intimes", disons, affectueuses, enfin... difficile de trouver le mot adéquat. Il s'agit d'aider les gens à vaincre leur peur des cadavres, même et surtout quand c'est celui d'un proche : lavez-le vous-même, encourage-t-elle. Donnez-lui les derniers soins. Lui, ça ne lui fera ni chaud ni froid. Mais vous... cela vous aidera.
Dans un livre récemment publié aux éditions Payot-Rivages (Chroniques de mon crématorium), Caitlin raconte qu'a priori rien ne la destinait à manipuler des restes humains. Sur son site Internet, on peut lire que ses "parents avaient peu de raison de penser qu'elle finirait par gagner sa vie en sondant les limites séparant les morts des vivants. C'est seulement lorsqu'elle s'est mise à poser des questions bizarres, qu'ils ont commencé comprendre : "Maman, si je me trouvais en haut d'une falaise et que je glissais, si mon corps se fracassait contre les rochers, est-ce que tu serais triste ?".
Tout vient d'un accident auquel elle assiste, à l'âge de 8 ans. Sous ses yeux, dans un centre commercial, une petite fille gravit une rambarde puis s'écrase 10 mètres plus bas, la tête la première sur le rebord d'un comptoir, dans un bruit d'os et de chair broyée. Caitlin n'en dort plus. "C'est comme si la petite fille n'en finissait pas de tomber dans un puits de terreur au beau milieu de mon corps".
Tout peut donc s'arrêter d'une seconde à l'autre ? Pour combattre cette hantise, Caitlin accomplit d'abord des petits rituels. Faire le tour de la maison trois fois avant de nourrir le chien. Marcher sur les dalles impaires pour aller à l'école... Ces tics disparaissent peu à peu, sans que cela ne résolve rien. Après le lycée, Caitlin rédige une thèse sur le sexe démoniaque dans l'imaginaire de la sorcellerie au XVe siècle. Puis, au lieu de chercher du travail comme historienne, elle se met à envoyer son curriculum à toutes les entreprises funéraires de Californie, essuyant d'innombrables refus jusqu'à ce qu'une petite firme spécialisée dans l'incinération l'accepte. Elle n'a strictement aucune expérience.
A 23 ans, le premier jour de son embauche, le patron lui tend un rasoir de plastique rose et lui demande de raser le visage d'un homme mort de cancer à 70 ans. Elle doit donc toucher le cadavre. Et en douceur : la peau des morts ne cicatrise pas. La moindre blessure serait du plus mauvais effet sur la famille venu leur dire adieu. Après avoir fixé le corps pendant dix longues minutes en essayant de se convaincre qu'il s'agit juste d'une carcasse d'animal, Caitlin se penche sur le défunt (qu'elle nomme Byron) et, craignant de lui faire mal, se met doucement à le raser...car "Byron était bien autre chose qu'une viande avariée : une créature noble et féerique, au même titre qu'une licorne ou qu'un griffon".
Pour son patron, l'épreuve est réussie. Caitlin désormais sera en charge du travail principal. A elle d'aller chercher, parmi les "cercueils" (boîtes) en carton empilés dans la salle froide, celui des morts ayant reçu leur permis de crémation. Une fois qu'elle les a trouvés, parfois sous une pile, Caitlin doit charger l'élu sur une table roulante aussi difficile à manier qu'un wagon de mineur avant de pousser son contenu dans la chaudière à 800°.
Chaque crémation prend environ deux heures, au cours de laquelle elle doit ouvrir la porte du four et munie d'une fourche, déplacer le cadavre en combustion pour le positionner correctement dans le coeur de la flamme. C'est salissant. Mais Caitlin ne trouve pas cela sale, au contraire : lorsque le corps a été entièrement brûlé, elle effectue avec son râteau un va-et-vient presque hypnotique qu'elle compare aux mouvements des moines qui chaque matin brossent des motifs de vague dans les graviers des jardins zen. Les cendres viennent à elle, mêlées d'os tièdes. Les cendres lui recouvrent les cheveux, s'infiltrent sous ses ongles, lui imbibent les pores de leur odeur étrange... Elle prend ses repas où elle peut, cherchant un abri, terrifiée à l'idée qu'il y ait des "des gens" dans ses nouilles. Mais heureuse d'avoir pu transformer leur corps en une poudre si douce et si légère.
Caitlin parle de tout, même du putride, avec des mots simples et lumineux. Elle parle aussi de la difficulté qu'il y a à draguer des garçons lorsqu'elle sort du travail, traînant après elle l'odeur tenace du crématorium. Et de la magie qui consiste à clore les paupières et la bouche d'un cadavre, dont il faut masser les muscles pour lui donner l'expression apaisée. Ce contact peau à peau c'est sa thérapie quotidienne. Le livre, rédigé six ans après ses débuts dans le crématorium, retrace l'histoire d'une réconciliation avec soi-même. Ses mots ne sont pas sans rappeler ceux du livre Mille cercueils, bouleversant documentaire consacré à la morgue improvisée de Kamaishi dans laquelle - après le grand séisme du 11 mars 2011 au Japon - des survivants se sont battus pour redonner aux morts un nom, un visage et une famille. Il y a de la beauté dans le rapport aux cadavres. Une beauté extrêmement proche parfois de ces gestes amoureux qui nous réconcilient avec ce corps que nous aimons si peu. Et pourtant, c'est ce corps-là que l'autre désire. C'est ce corps-là que quelqu'un caresse, même lorsque nous n'y sommes plus... qu'en souvenir. Il y a donc quelque chose de précieux en lui ?

Auteur: Giard Agnes

Info: 7 avril 2015

[ thérapie ]

 

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