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hommes-par-femme

La fortune vient en dormant, mais pas en dormant seule.

Auteur: Otéro Caroline

Info:

[ fortunés ] [ humour ]

 

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hommes-par-femmes

Un homme qui possède un compte chez Cartier ne peut être considéré comme laid.

Auteur: Otéro Caroline

Info:

[ fortunés ]

 

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héritage

Les gens, principalement ceux qui sont fortunés, aiment mieux n'avoir qu'un enfant et le faire riche.

Auteur: Le Roy Eugène

Info:

[ richesse ]

 

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collectivisme

Ne pleurez pas la liberté. Cette liberté était une illusion, que nous payions de la mort d’autres êtres humains moins fortunés. Aujourd’hui vous êtes libres de vivre en paix et de ne pas mourir de faim.

Auteur: Baxter Stephen

Info: Les Univers multiples, Tome 1 : Temps

 

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femmes-par-hommes

Le spécialiste relève que la meurtrière a un QI de 80, qui se situe juste à la limite inférieure. Ce qui ne l'a pas empêchée de fréquenter un milieu de gens fortunés. Depuis 1993, elle s'est fait entretenir par ses amants, toujours plus âgés et aisés.

Auteur: Internet

Info: à propos de l'affaire Stern à Genève

[ instinctives ] [ quotient intellectuel ]

 

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hommes-par-femmes

Il arrive en effet que des embryons de maris fortunés tombent amoureux de jolies filles. Mais comment cela serait-il possible, si la jolie fille en question n'était jamais mise sous les yeux de l' embryon ? A Kingsbury - Crescent, on ne voyait jamais un seul homme, d'un bout de l'année à l'autre.

Auteur: Trollope Anthony

Info: L'ange d'Ayala

[ proies ] [ cibles ]

 

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safaris

Les chasses aveugles du XIXe siècle avaient lancé la ruée vers l’Afrique et les premières tueries de masse – douze mille éléphants massacrés pour la seule année 1887. Maharadjahs, émirs, rois et princes fortunés, industriels en manque de sensations fortes, chasseurs de trophées ou d’ivoire, les caravanes partaient dans la brousse et les forêts africaines pour des semaines de traque, des centaines de porteurs et serviteurs embarquant argenterie, vaisselle, toilettes, lits à baldaquin et mobilier divers.

Auteur: Férey Caryl

Info: Okavango

[ loxodontocides ] [ historique ]

 

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mégapole

La ville, c'était le lieu du grand show, les passages à la télé et sur les radios où Dieu se vendait entre deux pages publicitaires sur le riz et la tomate en conserve, l'assurance d'un nombre important de fidèles aux veillées de prière, donc la garantie de quêtes dominicales plus importantes, de dîmes fulgurantes versées par des cadres fortunés, pour l'érection de nouvelles chapelles. La ville, c'est quand même plus facile. Nettement plus facile si l'on se soucie de faire carrière, et de démontrer aux gogos que Dieu demeure un ascenseur social incomparable, et l'évangéliste lui-même le fumeur d'un opium dont l'odeur n'atteindra jamais les narines du pauvre abîmé dans sa prière cocorico.

Auteur: Kangni Alem

Info: La légende de l'assassin

[ agglomération ] [ centralisation ]

 

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fric

L’argent qu’il s’était tant échiné à gagner semblait avoir perdu son pouvoir d’achat. Tout ce qu’il désirait auparavant était devenu accessible, mais il avait découvert que quatre-vingt-quinze pour cent des objets de luxe servant à marquer le statut des plus fortunés étaient de pures illusions. L’éclat trompeur de son rêve réalisé s’était révélé plus effrayant que le désir insatisfait de posséder qui l’avait tourmenté durant tant d’années......L’argent l’avait escroqué. Dans le domaine des affaires, il n’était qu’une matière première, comme le lait ou le cacao (Moukhine produisait du chocolat d’assez bonne qualité et d’assez bonne marque). Pour Moukhine lui-même, l’argent s’était réduit à néant. Il existait essentiellement sous forme virtuelle, constitué d’unités d’information qui ne reflétaient en rien la personnalité de celui qui le possédait. Ses euros et ses roubles ne se distinguaient en rien de ceux des autres. Moukhine avait l’impression de sonner creux et avait parfois du mal à croire en sa propre existence.

Auteur: Slavnikova Olga

Info: La locomotive des sœurs Tcherepanov

[ réussite ] [ échec ]

 

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nantis

Ce soir-là, sans y être préparé, je venais de pénétrer dans un territoire jusqu'alors inconnu qui me hanterait des années durant : celui des grands bourgeois. Ce maigre adjectif fait toute la différence, croyez-moi. Ce n'est pas une question d'argent. C'est une ques tion d'attitude. Ici, l'argent ne comptait pas : il n'était pas un moyen, encore moins un but. C'était presque un gros mot. Ils étaient riches, mais ils s'en fichaient complètement. D'ailleurs ils se fichaient d'à peu près tout. Ce n'était pas un principe réfléchi – ce qui aurait fait d'eux des snobs –, mais un état naturel. Tout ce qui jusqu'ici avait pour moi représenté l'ordre, l'apparence, le respect des conventions, volait subitement en éclats. Les petits-bourgeois – et mes parents en étaient, c'est certain – obéissaient à des règles. Les grands bourgeois n'en avaient aucune. Ils faisaient tout simplement ce qui leur plaisait au moment où cela leur plaisait. Ils n'avaient pas peur de déranger, cette idée ne les effleurait même pas. Comment auraient-ils pu déranger ? Ils étaient chez eux partout, en toutes circonstances. Ils ne voulaient rien puisqu'ils avaient déjà tout, Ils n'avaient rien à prouver, rien à gagner. Il leur suffisait simplement de laisser s'écouler le long fleuve de leur vie de la façon la plus paisible qui soit, en observant d'un air vague et détaché le peuple primitif qui s'agitait le long des rives qu'ils traversaient. Ils possédaient le monde.

Auteur: Roux François

Info: Le Bonheur National Brut

[ fortunés ] [ privilégiés ]

 

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Ajouté à la BD par miguel