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dernières paroles

Je mourrais roi d'Angleterre, je ne bougerai pas d'un pouce... trahison, trahison!

Auteur: Richard III

Info: variante: Henry... Henry!

[ . ]

 

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râteau

Lidvina : Merci, je mourrais pas idiote.
David : Si. Mais moins...

Auteur: Internet

Info:

[ insulte ] [ dialogue-web ]

 

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dernières paroles

Si je ne mourrais pas cette fois, ce serait dommage: je me sens bien prête.

Auteur: Dorothea Christophorona von Bekendorf

Info: princesse de Liéven 1857

[ . ]

 

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femmes-hommes

- Si je pouvais te voir nue, je mourrais heureux.
- Peut-être, mais si je te voyais nu, je mourrais de rire.

Auteur: Internet

Info:

[ râteau ] [ répartie-féminine ]

 

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dernières paroles

D'abord à son domestique: Soutien cette tête, je voudrais pouvoir te la léguer. Ouvre donc la fenêtre... Puis à son médecin: Mon ami, je mourrais ainsi... Quand on en est là, il ne reste plus qu'une chose à faire: c'est s'envelopper de parfums, se couronner de fleurs et s'environner de musique afin d'entrer le plus agréablement dans le sommeil éternel.

Auteur: Mirabeau Honoré Riqueti comte de

Info:

 

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femmes-par-femme

J'aime, j'aime et respecte des femmes avec mon esprit, mon coeur et toute mon âme. Cet amour des femmes est le sol sur lequel ma vie est enracinée. C'est le sol de notre vie commune. Ma vie se développe sur ce sol. Sur n'importe quel autre sol je mourrais. De quelque manière que je sois forte, je le suis en raison de la puissance et de la passion de cet amour nourricier.

Auteur: Dworkin Andrea

Info:

[ sororité ] [ socles ]

 

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déclaration d'amour

Si tu étais la mer
Moi je serais rivière
Et mes jours couleraient vers toi
Si tu étais pays
Mes bras seraient frontières
.......
Si tu étais...
Mais tu es plus encore...
Tu es, tu es
Et tu remplis mes jours
Tu es de vie
Tu es d'amour
Tu es.
Si tu étais la terre
Moi je serais semeur
Tu serais ma moisson... ma loi
Et je mourrais ravi
De t'avoir vue en fleurs
M'endormant à jamais... en toi.

Auteur: Adamo Salvatore

Info: Si tu étais, 1er couplet

[ chanson ]

 

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existence

Quand je mourrais, je me souviendrais de la vie comme d'une méduse d'une taille monstrueuse que l'on effleure avec dégoût, parce qu'il faut bien, et moi aussi je me sentais comme ça, fuyant, visqueux, comme les autres, pas épargné par le désastre universel, oh non, mais flasque, si flasque, avec ma peau flasque, mes paroles flasques, mes histoires vaseuses, la flaccidité de mes pensées, et le dégoût de moi-même, au fond, tout au fond, ces flatulences qui jamais ne parvenaient à l'air libre et m'asphyxiaient lentement. Je me sentais gluant et sombre, comme si le monde dans lequel on m'avait plongé de force, à ma naissance, avait fini par devenir ma propre substance, à force.

Auteur: Martinet Jean-Pierre

Info: Jérôme : L'enfance de Jérôme Bauche

[ enfer ] [ étouffant ] [ pessimisme ]

 

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exister

Je voulais être danseuse. Je crois que ce qui m'importait le plus, à l'époque, c'était qu'on me regarde. Je passais des heures devant la glace, touchant mes hanches, attrapant mes seins. Je maîtrisais à merveille toutes les moues sexy des actrices qui paradaient sur les cartes postales en noir et blanc épinglées sur mon mur. J'étais Bardot, j'étais Monroe. Je me trouvais aussi belle qu'elles, et mon avenir était tout tracé. Danseuse, puis actrice. Je danserais, puis je serais repérée, puis je serais adulée et malheureuse et je mourrais. (...)
Montrer mon corps, que je trouvais sublime, est devenu, à cette époque, un besoin, une urgence. Oui, j'étais celle qui finit nue sur la table quand la musique est trop belle. J'étais une Marilyn de province, prête à tout montrer à chaque instant pour être "repérée", pour qu'on me regarde.

Auteur: Julie Bonnie

Info: Chambre 2, p. 29-30, aux jeunes filles/femmes qui rêvent de gloire et se brûlent les ailes

[ adolescence ] [ espérance ]

 

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pensée magique

J’ai découvert en moi il y a quelques années la conviction que je mourrais entre l’âge de 61 et 62 ans, ce qui m’apparaissait alors encore comme un long délai (aujourd’hui ce ne sont plus que 8 ans). Je suis ensuite allé en Grèce avec mon frère, et là cela a été réellement inquiétant de voir le nombre 61 ou 60, combiné avec 1 ou 2, revenir à l’occasion de toutes les appellations de tous les objets numérotés, en particulier des moyens de transport, ce que je notai consciencieusement. D’humeur oppressée, j’espérai reprendre souffle à l’hôtel d’Athènes quand on nous donna des chambres au premier étage ; le numéro 62 ne pouvait pas entrer en ligne de compte. Certes, mais je reçus du moins le n°31 […], et ce nombre plus jeune et plus agile s’avéra encore plus endurant dans la persécution que le premier. Depuis mon retour jusqu’à des temps tout à fait récents, le 31, au voisinage duquel se trouvait volontiers un 2, m’est resté fidèle. Comme j’ai aussi dans mon système des régions où je suis seulement avide de savoir et nullement superstitieux, j’ai tenté depuis lors l’analyse de cette conviction ; la voici. Elle s’est constituée en 1899. Deux événements ont alors eu lieu simultanément. Premièrement j’ai écrit L’Interprétation des rêves (qui a parue antidatée avec la mention 1900), deuxièmement j’ai reçu un nouveau numéro de téléphone, que j’ai encore actuellement : 14 362. Ce qui est commun à ces deux faits est facile à établir : en 1899, quand j’ai écrit L’Interprétation, j’avais 43 ans. Quoi donc de plus proche que de penser que les deux autres chiffres devaient signifier la fin de ma vie, donc 61 ou 62. – Soudain il entre de la méthode dans l’absurdité. La superstition que je mourrai entre 61 et 62 ans se révèle être l’équivalent de la conviction qu’avec L’Interprétation j’ai achevé l’œuvre de ma vie, que je n’ai plus besoin de rien faire, et que je peux mourir tranquillement.

Auteur: Freud Sigmund

Info: Dans la "Correspondance Jung-Freud, tome 1 : 1906-1909", trad. de l'allemand et de l'anglais par Ruth Fivaz-Silbermann, éd. Gallimard, 1975, lettre du 16 avril 1909

[ mort ] [ psychanalyse ] [ élucidation raisonnable ] [ signification ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson