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désir

Nous savons aujourd'hui que la sexualité humaine n'est pas innée : elle est apprise et construite par les images que nous propose la société. Même chez nos cousins les primates, qui vivent en milieu naturel, la sexualité s'apprend par l'expérience : les jeunes singes assistent à la séduction et aux ébats des adultes. La nécessité du modèle s'impose ; un jeune chimpanzé, isolé de ses congénères, est paradoxalement incapable, à l'âge adulte, de s'accoupler.
Or, différence fondamentale, par le phénomène de la pudeur, l'amour des humains se fait toujours à l'écart du groupe. C'est l'une des grandes difficultés de la sexualité : d'une part elle a besoin d'éducation, d'autre part la culture et les religions censurent tout modèle et souvent toute éducation sexuelle. [...]
Une véritable éducation à la sexualité devrait prendre en compte les aspects biopsychologiques, émotionnels et sociaux de la sexualité ; permettre de comprendre la différence des sexes, les relations interpersonnelles, de développer le sens critique, l'ouverture d'esprit et le respect de l'autre. [...]
En l'absence d'une véritable éducation à la sexualité, le jeune ado va chercher des informations auprès de ses pairs et du seul modèle iconographique de la sexualité : le porno. C'est bien évidemment le plus mauvais modèle et la raison pour laquelle un solide accompagnement serait indispensable, depuis le primaire jusqu'à la fin des études. A l'âge de 11 ans, un adolescent sur deux a déjà vu une scène pornographique.

Auteur: Brenot Philippe

Info: Sex story, p. 191

[ fesse ] [ historique ]

 

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science-fiction

Et puis il y avait eu l'arrivée de Piel Essiarf. Ce fou. Son excentricité essentielle et l'immense fortune héritée de ses parents avaient offert une ouverture incroyable, vrai coup de lumière dans la pénombre d'un solipsisme anthropomorphique sans issue.

Inspiré des travaux de Millar Gaichel, explorateur marginal du siècle précédent (un ufologiste passionné qui ingérait de très calculées doses de DMT tout en utilisant des lunettes spéciales afin d'élargir sa vision dans l'infrarouge et l'ultraviolet, tout ceci après s'être longuement rééduqué pour s'extraire au possible des préjugés culturels qui obstruaient ses sens), Piel Essiarf fit faire un bond immense à l'aventure du dépassement cognitif en combinant trois idées de recherches qu'il put faire développer "ensemble" via l'engagement de brillants chercheurs créateurs et l'intelligente utilisation des progrès technologiques de son époque.

Sa première idée, la plus originale et la plus difficile, déverrouillait tout. On la nomme encore aujourd'hui "Désyntonisation et reconversion syntones des formes de vie a-syntones." Les deux autres, non moins aventureuses, étaient plus facile d'accès puisque nous parlons des biens connues MTCC (Modélisations théoriques de civilisations non issues du carbone) et ERENAM (Etude des rapports d'échelles entre nano, anthro et macro monde.)

Dès les premières découvertes issues de cette tri-méthodologie la science des "techno-signatures non humaines" prit son envol. Et beaucoup d'autres disciplines. Énorme remise en perspective pour l'hubris des primates glabres de la 3e planète du système solaire. Mais c'est une autre histoire.

Auteur: Mg

Info: A la recherche de Zoul, 5 et 6 décembre 2018

[ dépassement ] [ anthro-syntonisation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

science-fiction

L'homme avait passé son temps à trouver des explications en étudiant les paramétrage de son univers : tel un drone biologique envoyé vers un "extérieur" connaissable seulement par son entremise (et celles des autres êtres vivants développés bien sûr).
Ce fut une fois encore Piel Essiarf et ses équipes qui, inversant totalement la perspective, parvinrent à des résultats vus comme extraordinaires alors. Ils usèrent de quelques astuces, comme de subtils détournements de l'attention directe forte (conditionnée par l'évolution), parfois aidé en cela par l'usage de produits psychotropes. Ou encore en s'aidant de techniques d'hypnose régressives (qui conduisirent ensuite vers la discipline maintenant très répandue de l'hyper introspection).
C'est donc en s'attaquant frontalement à l'exploration de cet autre bout de la lorgnette qu'est le monde intérieur humain que Piel Essiarf et consorts mirent au jour des ouverture vers ce qu'on nomma - justement - "Le Noma", trou noir infinitésimal dont nous sommes issus, qui ouvre vers nouvel univers dans lequel on avait mis tout et son contraire jusque là : ovnis, mémoire d'avant, inconscient, apparitions de la vierge, incarnations précédentes, mort imminente, fantômes, etc.
Il est à noter - ce fut démontré plus tard par les physiciens théoriciens - que ce "conduit frontière" génère une infime manifestation mesurable, au regard de laquelle une onde gravitationnelle fait figure d'étoile à neutron.
On découvrira ensuite que le flux du vivant utilise aussi, sous certaines conditions précises, ce passage, pour initialiser, ou ré-initialiser la vie.

Auteur: Mg

Info: 23 juillet 2019

[ fluide vital ] [ monde parallèle ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

théologie

Plus les connaissances s'affinent dans l'ordre de la causalité des choses, pensons à la génétique et aux avancées en biophysique et en chimie quantique, plus les théories que les divers dogmes religieux ont avancées s'effondrent. C'est donc un affinement. Mais qui ouvre. Un aggrandissement de l'intellection, une vue plus détaillées de la multiplication des infinités de paramètres qui sous-tendent la réalité. Et leurs intrications infinies. L'avancée scientifique correspond donc tant à un élargissement omnidirectionnel, qu'à la reconnaissance d'une "finesse" plus qu'extraordinaire des interactions des choses et de leurs enchevêtrements. En ce sens l'idée de l'immensité de la barrière entre hommes et anges - je fais spécifiquement référence ici aux "dialogues de Gitta Mallasz" - pourrait donner une idée du prodigieux ordre de grandeur des sauts conceptuels (et pourquoi pas physiques) entre les différents degrés du septénaire miroir : Minéral, Végétal, Animal, Homme, Ange, Archange, Dieu.

Les avancées scientifiques sont donc une grande aspiration vers "le nouveau", via la destruction des anciens dogmes, et conséquemment l'ouverture de perspectives élargies. En ce sens l'insertion d'un "hasard divin" qui viendrait orienter les choses devient plus aisé à défendre (porte ouverte à toute les justifications religieuses) tant les infimes curseurs potentiels pour un éventuel "projectionniste" sont démultipliés.

Mon sentiment profond demeure cependant ; l'univers est impersonnel, l'homme l'explore et se justifie, ce faisant il développe son propre système. Cette liberté implique une forme de discernement... et donc de responsabilité. Reste à l'entrevoir et à agir en ce sens.

Auteur: Mg

Info: 4 octobre 2019

[ anthropocentrique ] [ indéterminisme ] [ théologoumène ]

 
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Internet

Les Beaux-arts, Le Monde... et Internet
La bonne qualité d'un objet, ou d'un fonctionnement, ne se remettent pas en cause : on les répète. Le public ou l'individu redemandent ce qui les a déjà satisfaits, comme ces scénarii avec un début et une fin, rassurants et confortables. En art, c'est le divertissement. Il y a là une notion de repos, voire d'aliénation. Restent heureusement ces défauts humains que sont l'insatisfaction et l'ennui... qui nous font chercher sempiternellement les améliorations. (D'où cette expression vaudoise bien sympa : mieux, ce sera moins bien). Mais stop.
La survie des humains est d'essence inverse. Aussi l'art devrait réveiller les gens, faire acte de subversion. Surtout dans une époque comme la nôtre où des entités comme Google et Java, sous couvert de liberté et d'ouverture, ont acquis des positions de monopole sans équivalent sur notre planète. Tout ceci en grande complicité avec les pouvoirs, US en particulier.
Comment faire alors ? Afin que ceux qui émettent et ceux qui reçoivent - sur le web - restent intouchés par la subversion du pouvoir et puissent établir un dialogue constructif, hors intérêts des élites ?...
Comment se mettre ensemble pour construire quelque chose qui, dépassant de très loin nos vies et nos egos, puisse déboucher sur un sociétal planétaire qui ne nous fasse pas honte ? Comment établir et faire respecter NOTRE pouvoir réel, celui de la masse, sur tout ce que nous ne savons pas, mais qui est à nous tous. Pas aux potentats financiers ?...
Un web des femmes ?

Auteur: MG

Info: 23 juin 2013, inspiré par Rezvani

[ beaux-arts ] [ démocratie ] [ question ]

 

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écoute attentive

Denys possédait cette qualité inestimable à mes yeux : il savait écouter une histoire. L'art d'écouter une histoire s'est perdu en Europe. Les indigènes d'Afrique, qui ne savent pas lire, l'ont conservé. Les blancs eux ne savent pas écouter une histoire, même s'ils sentent qu'ils le devraient. S'ils ne s'agitent pas, ou s'ils ne peuvent pas s'empêcher de penser à une chose qu'ils doivent faire toutes affaires cessantes, ils s'endorment. Ces mêmes personnes peuvent fort bien demander quelque chose à lire, un livre ou un journal, et sont tout à fait capables de passer la soirée plongées dans quelque chose d'imprimé, et même de lire un conte. Ils se sont habitués à recevoir toutes leurs impressions par le truchement des yeux.

Denys, qui de manière générale avait l'ouïe très fine et avait développé ce sens durant ses safaris, préférait entendre une histoire plutôt que de la lire. Quand il arrivait à la ferme, il me demandait si j'avais de nouvelles histoires à raconter. En son absence, j'inventais des contes et des histoires. Le soir, il s'installait confortablement devant la cheminée, avec tous les coussins de la maison autour de lui, je m'asseyais en tailleur à côté de lui, telle Schéhérazade, et il m'écoutait raconter une longue histoire, du début à la fin. Il la suivait même mieux que moi, car lorsque, au moment décisif, un des personnages faisait son apparition, il m'interrompait pour me dire : "Cet homme est mort au début de l'histoire. Mais cela ne fait rien, continuez".

Auteur: Blixen Karen

Info: La Ferme africaine

[ concentration ] [ ouverture ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

spiritualité

Dans cet énorme champ de vision nous ne pouvons que souligner que quelques points pratiques, d’ordre général, qui frapperont le chercheur au début de son enquête. Tout d’abord, il faut bien distinguer les rêves ordinaires du subconscient, des expériences. Les expériences ne sont pas des rêves, bien que nous ayons l’habitude de tout mélanger, ce sont des événements réels auxquels nous avons participé sur tel ou tel plan; ils se distinguent des rêves ordinaires par leur intensité particulière: tous les événements du monde physique, extérieur, si exceptionnels soient-ils, semblent pâles à côté de ces événements-là; ils laissent une impression profonde et un souvenir plus vivant que n’importe lequel de nos souvenirs terrestres, comme si nous avions soudain touché un mode de vie plus riche – pas nécessairement plus riche par la figuration extérieure ni par les couleurs, qui pourtant peuvent être d’un incroyable éclat (surtout dans le Vital), mais par le contenu. Quand le chercheur, au réveil, aura cette impression débordante, comme d’avoir baigné dans un monde chargé de signes, qui veulent dire plus d’une chose à la fois (nos événements du monde physique ne veulent dire qu’une chose à la fois, rarement plus) et devant lesquels on pourrait rester longtemps sans épuiser leur sens tant ils semblent chargés de ramifications invisibles et de profondeurs étagées; ou lorsqu’il aura assisté ou participé à certaines scènes qui semblent infiniment plus réelles que nos scènes physiques, toujours plates, comme si elles se cognaient tout de suite contre un fond dur et un peu photographique, il saura qu’il a eu une expérience véritable, non un rêve.

Auteur: Satprem Bernard Enginger

Info: "Sri Aurobindo Gose ou l'aventure de la conscience"

[ ouverture ] [ illuminations ]

 

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helvète

Il y a plusieurs décennies cette idée de "bâtir l'édifice" était vue comme un sentiment noble, altruiste, communautaire. Elle était le moteur d'un politicien de milice, responsable, intégré dans la population, avec une bienveillance naturelle et un bon sens acquis sur le terrain.
Aujourd'hui la Suisse même si elle s'en éloigne, reste une société assez proche de ce mode de fonctionnement. A la différence que les penseurs ou les dirigeants sont toujours plus formatés par l'extérieur, c'est à dire par des pensées issues de biotopes qui n'ont pas grand-chose à voir avec le nôtre. On ne fonctionne/raisonne pas la même chose dans le désert de l'Oklaoma, Le Matto Grosso, une ile océanienne ou en habitant une vallée alpine. Dans cet ordre d'idées l'assujettissement mental de certains politiques romands au "conceptuellement correct" de la France et ahurissant. Il suffit de voir comment Mme Lyon a réagi lorsqu'un pauvre prof inconscient fit une bêtise devant l'entrée d'un camp de concentration...
Démontrez moi que l'humain mondial est devenu sage, raisonnable et tutti quanti.... et j'entrerai en matière pour une pensée mondialiste dominante. Mais ça ne marche pas encore comme ça. Et puis, de toutes façons, l'homme a besoin, pour sa survie, de désordres et de remises en causes. Surtout au niveau local !
Notre planète, géographiquement morcelée et tourmentée, devra encore continuer de fonctionner ainsi, avec cette ouverture au possible que présentent toutes ses différences. Ainsi la Suisse n'a pas de motifs particuliers de changer. Nulle raison de perdre de vue ce qui a fait nos valeurs. Organisation, travail, efficacité, économie, écologie... et ouverture sur le monde.
Charité bien ordonnée... comme dirait l'autre.

Auteur: Mg

Info: 28 juillet 2013

[ de l'Europe et du monde ]

 

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extraterrestres

Il aura fallu que Jacques Vallée, alors astronome, observe des objets artificiels circuler en orbite de manière rétrograde (ce que les humains ne savent pas faire) pour allumer sa curiosité ufologique. C'était dans les années soixante.
Cinquante années plus tard toute cette problématique s'est complexifiée (pensons aux mutilations animales, aux crop circles, aux révélations sur les oeuvres cachées de certains gouvernement, sur nos faiblesses psychiques, etc.) Vallée, considéré non sans raison comme un des plus grand spécialistes des OVNIS, reste ouvert et penche plutôt vers un mélange de mysticisme et de manipulation pour expliquer le phénomène. Ce en quoi il n'a probablement pas tout tort.
Mais il me semble cependant que vouloir expliquer ce phénomène de manière simple (selon une - ou deux - causes principales) reste bien aventuré. S'il existe des ethnies aliènes qui viennent nous visiter, il y en a certainement plusieurs et peut-être beaucoup, chacune avec des buts et des positions dans le réel variées... Regardez notre règne animal. Peut-être même que certains ET créent la réalité dont nous sommes partie !
Mais pour l'instant le monde n'est que la pauvre perception que nous en avons, une réalité projetée et conditionnées par nos pulsions et nos sens limités. Contemplez les barrières incroyables qu'auto génère notre race en terme d'ouverture intellectuelle, pensez aux universités et à leur soumission à la société de profit, aux phénomènes de cooptation et de cénacle que cela produit. Pensez combien notre bêtise est intrinsèque (Objectifs principaux de l'humain : avoir pouvoir et confort... pour les conserver becs et ongles !) - on ne peut qu'imaginer que cette représentation du monde constitue un système d'"oeillères" redoutable.

Auteur: Mg

Info: 1er aout 2013

[ métaphysique ] [ fermeture ]

 

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zen

Question: - Quand les gens entendent parler de cette luminosité qui se lève au moment de la mort, ils se demandent pourquoi on la nomme "claire lumière". Qu'est-ce que cela a à voir avec la lumière que nous connaissons ? Dalai Lama : - Je ne pense pas que la terminologie claire lumière doive être prise au pied de la lettre. C'est une sorte de métaphore qui a ses racines dans notre volonté de nommer les choses. Selon le bouddhisme toute conscience ou tout événement cognitif mental est censés être dans une nature de clarté et de luminosité. C'est donc de ce point de vue que le choix du terme lumière est utilisé. "Claire lumière" est le niveau le plus subtil de l'esprit, qui peut être considéré comme la base ou la source à partir de laquelle une expérience éventuelle de bouddhéité, de réalisation de la sagesse de Bouddha, pourrait survenir. La claire lumière est un état de l'esprit qui ne devient pleinement manifeste qu'à la suite de séquences, ou étapes de dissolution, par lesquelles l'esprit se libère de certaines entraves, décrites métaphoriquement par des mots comme lumière du soleil, clarté lunaire ou obscurité, qui pourront tenter de décrire les trois premières étapes d'une dissolution techniquement nommée, y compris le stade de claire lumière, les quatre vacuités. Au stade final de cette dissolution l'esprit est totalement libre de toute entrave, de tout facteur d'obscurcissement. Par conséquent, on peut l'appeler claire lumière. Une sorte de lumière. On peut également comprendre cette expression de claire lumière en termes de la nature même de l'esprit. L'esprit, ou la conscience, est un phénomène dépourvu de tout empêchement. Il est non obstrué.

Auteur: Dalaï Lama

Info:

[ NDE ] [ libération ] [ nirvana ] [ ouverture ] [ mort imminente ]

 

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