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question

Si par exemple une élite conspiratrice est si puissante, avec à sa disposition des instruments multiples et délicats pour affiner l'accumulation, comment expliquer alors ces plongeons tête la première dans ces périodes de crise ?

Auteur: Harvey David

Info: The Limits To Capital, Chapter 10, Finance Capital And Its Contradictions, p. 316

[ complotisme ]

 
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humanité

Plongeons plus avant dans l'avenir. Un jour viendra, tout semble le dire, où, de progrès en progrès, l'homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation. Trop ardent à faire Dieu, il ne peut espérer la placide longévité de la bête.

Auteur: Fabre Jean-Henri

Info: Souvenirs entomologiques, tome 1

[ décadence ] [ technologie ] [ pessimisme ]

 

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introspection

L'ombre est le plus beau cadeau de la vie. C'est tout à la fois l'enseignant, le formateur et le guide nous aidant à découvrir notre vraie splendeur. L'ombre n'est ni un problème à résoudre ni un ennemi à abattre, c'est un champ fertile à cultiver. Quand nous plongeons les mains dans ce terreau, nous découvrons la semence puissante de la personne que nous désirons être. Nous vous souhaitons sincèrement d'emprunter ce chemin, parce que nous savons le bonheur qui vous attend.

Auteur: Deepak Chopra

Info: Le choix de la lumière

[ quête ]

 

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réminiscence

Par quels sentiers ruissellent les souvenirs ? Vient à Michelle la mémoire d'une autre main - détourne les yeux de sa chair de poule d'enfant, ne pas confondre les peaux. C'était de l'autre côté, sur la rive ouest, là où le soleil se couche. Ils s'y installaient l'été avec les copains, mobylettes près des arbres, plongeons depuis le plus haut rocher, maillots de bain sous les pulls, pommes de terre dans l'aluminium, nuits blanches autour d'un haut feu, Californie au bord du lac.

Auteur: Monnin Isabelle

Info: Les gens dans l'enveloppe

[ analogies ] [ rapprochement ] [ association d'idées ]

 

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barbarie

Nous passons des années et des années dans des salles de cours et des laboratoires, nous nous plongeons dans les livres pour ingurgiter tout ce savoir accumulé par les hommes depuis des siècles en vue de soigner les corps, d’en chasser la douleur et la mort, et voilà qu’arrive une bande d’abrutis quasi illettrés qui, rien qu’en appuyant sur un bouton ou une détente, les réduisent en charpie ! Du sang, partout du sang ! Le pays réduit à l’état de table de dissection, à cette différence près que, au lieu des morts, on dissèque les vivants. Voilà la science du vivant en vogue ces temps-ci.

Auteur: Sinan Antoon

Info: Ave Maria, à propos de la guerre en Irak

[ fanatisme ] [ guerre ]

 

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s'immerger

On se connaît peu soi-même si l'on n'a jamais senti une excitation sur la peau en entrant dans la mer, puis le lent accord avec l'eau, si l'on ne sait pas ce que c'est qu'accepter de lui appartenir, et se laisser aller, en flottant. Notre corps découvre un monde quand il accepte de se confier sans peur au mouvement du ressac, quand nous contemplons le ciel étendu sur la mer et plongeons nos oreilles dans son ventre sonore, en acceptant de nous donner à elle avec une confiance filiale. Dans cet exercice, dans cette familiarité avec la grammaire de l'eau réside une sagesse ancienne, qui suggère la possibilité d'un temps autre. Sans l'infini de la mer, nous coulons à pic, entraînés dans le tourbillon de notre anthropomorphisme.

Auteur: Cassano Franco

Info: La pensée méridienne

[ océanique ]

 

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saison estivale

La fin de l'été, aux Solovki, fait penser à un rêve : l'horizon émerge des brumes comme une histoire interrompue au milieu d'un mot, le ciel est gris cendré, la mer d'un gris nacré, et dans l'air c'est l'été de la Saint-Martin. Çà et là, les bouleaux s'enflamment, les herbes jaunissent, la mousse embaume. La terre est recouverte d'une brume grise où dorment prés et marécages ; les lacs aussi semblent sommeiller, rêvant des arbres et des gens penchés au-dessus d'eux. Les gens s'attristent de voir l'été finir et boivent pour prolonger ce rêve. Seulement parmi les oiseaux retentit le vacarme qui précède le voyage : les canards apprennent à nager à leurs petits, les vanneaux pressent au départ, les canards mandarins s'énervent, et les plongeons manigancent quelque chose. Brusquement l'automne est là... ... Nous salons harengs et bolets. Les nuits, sur l'archipel rallongent, comme les ombres des jours, et il fait noir comme dans un four. On aperçoit seulement par moments, tout à coup, des éclats de lumière dans le ciel, comme si elle sourdait de l'autre monde. C'est une sévernoïe sïanié, une aurore boréale...

Auteur: Wilk Mariusz

Info: Le Journal d'un loup, p85-86

[ été indien ] [ littérature ]

 

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bouillonnement

Les mouettes et les plongeons piquaient rapidement vers les bandes de petits poissons qui fourmillaient et sautaient à la surface, plongeaient vers le fonds et émergeaient de nouveau. Les ailes s'agitaient sans cesse. Les plongeons et les mouettes disparaissaient un moment sous les eaux. Tous les êtres vivants étaient en mouvement, à l'affût d'un petit déjeuner sur mer. Dans la confusion , on ne s'apercevait pas de la sauvagerie secrète de cette gloutonnerie animale. Des milliers de créatures vivantes pourchassaient des millions d'autres créatures vivantes. De gros poissons avalaient des centaines de milliers de petits poissons, sans qu'on vît une goutte de sang à la surface. Un maquereau ingurgitait des milliers de petits poissons minuscules qui avaient déjà avalé, chacun, une bête microscopique. Et puis, une mouette attrapait au vol, sans même se poser sur l'eau, le maquereau qui s'était aventuré à sauter hors de l'élément liquide, et, après l'avoir secoué de son bec, se l'envoyait, à demi-vivant, dans l'estomac, en trois mouvements de gorge. Et derrière tout ce défilé, un petit thon, sautant de temps à autre en l'air, fonçait avec la rapidité d'un éclair sur les bandes en pleine panique. L'ivresse d'un grand festin régnait tout autour de l'Ile pointue.

Auteur: Sait Faik Abasiyanik

Info: Un point sur la carte

[ océan ] [ nature ]

 

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Ajouté à la BD par miguel