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vieillir

L'art consiste à mourir jeune, cependant le plus tard possible.

Auteur: Wandtner Reinhard

Info:

[ vie ] [ sagesse ] [ santé ] [ vitalité ]

 

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post-adolescence

Je sentais en moi une énergie surabondante qui ne trouvait aucun exutoire dans notre vie tranquille.

Auteur: Tolstoï Léon

Info: La Sonate à Kreutzer. Le bonheur conjugal. Le Diable.

[ ennui ] [ vitalité ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

vigueur

La différence entre un homme et les autres n'est pas dans ses capacités... mais dans son énergie.

Auteur: Arnold Thomas

Info:

[ vitalité ] [ inégalité ]

 

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ascendants

Un animal n'est pas un frétillement alimentaire, il est la force qui souffle un cri dans nos ossements, pour les faire rire.

Auteur: Lovay Jean-Marc

Info: In "La négresse et le chef des avalanches", éd. Minizoé, p. 24

[ vitalité ] [ surgissement ] [ définition ] [ ancêtres ]

 
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Ajouté à la BD par Benslama

dynamisme

Énergie. Je suis énergie. Sublime et insensée Énergie.
Je me répands en vagues sur l'océan vide
D'espace, où flottent les îles-univers,
Chacune petit bateau solitaire.

Auteur: Huxley Julian Sorell Sir

Info: La musaraigne captive et autres poèmes d'un biologiste. Matière, énergie, temps et espace (p. 65) Harper & Brothers. New York, New York, États-Unis. 1933

[ vitalité ] [ poème ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

flux sémantiques

Ambiguïté, polysémie, obscurité, manquements aux enchaînements logiques et grammaticaux, incompréhension réciproque, faculté de mentir ne sont pas des maladies du langage, mais la source de son génie. Sans eux, l’individu et l’espèce tout entière auraient dégénéré .

Auteur: Steiner George

Info: Après Babel

[ liberté ] [ vitalité ] [ communauté ] [ équivoques linguistiques ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

source essor

(…) dès qu’il fabrique un œuf, un organisme vivant a le projet de coloniser l’espace et le temps, il se soustrait au " hic et nunc ". La fonction essentielle de l’intelligence humaine, simuler les lois, les structures du monde extérieur n’est guère que le prolongement – ou l’explicitation – de ce dessein primitif.

Auteur: Thom René

Info:

[ vitalité sous-jacente ] [ force de vie ] [ expansion ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

mouvement

Rien de bien ne se fait couché ou assis ! Seul, l’homme debout fait du bon travail, et c’est quand il marche qu’il pense droit ! Garde-toi de ne rien faire le cul sur une chaise ou sur un lit, sinon de manger, dormir ou reposer ! Si tu veux comprendre, débattre sainement, imaginer, organiser ta pensée, concevoir et décider : Marche ! marche, tu verras !

Auteur: Vincenot Henri

Info: Les étoiles de Compostelle

[ dynamisme ] [ vitalité ] [ chair-esprit ] [ équilibre ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

idéalisme

Nous puisons notre désir et notre volonté de justice dans le pressentiment d'une force qui s'organise et que méconnaissent toujours ceux qui détiennent les armes extérieures de la force ancienne par héritage ou par hasard. Il est peut être nécessaire que nous l'ignorions afin de conserver la fraîcheur de nos enthousiasmes, mais chaque fois que nous allons nous battre pour ou contre la liberté, la vérité, la science et autres mythes, c'est pour ou contre la vie devenante que se livre le combat. Les puissances de vie seules sont puissances de construction.

Auteur: Faure Elie

Info: Les constructeurs

[ vitalité ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

sauveur

Soleil fanfaron tes tiédeurs m’indifférent – bonjour, à plus tard !



Tu n’éclaires qu’en surface : moi, surface comme abîme je les transperce !



Dis-moi Terre ! On dirait que tu attends quelque chose de mes mains,

Dis-moi, vieille toque, qu’escomptes-tu ?

 

Vous, femmes et hommes, j’aimerais tellement vous dire mon amour et c’est impossible !

Tellement vous dire cette chose en moi et en vous, et c’est impossible !

Tellement vous faire sentir cette fièvre en moi, ce battement de mes nuits et mes jours !



Sachez-le, je ne dispense ni leçons ni charité médiocre,

Quand je donne c’est moi-même que je donne, sans hésiter.



Toi l’impotent, qui branle des rotules,

Enlève-moi ce foulard autour des joues que je t’injecte du remontant dans le gosier,

Ouvre grand les paumes, relève le rabat de tes poches,

Allez pas de chichis, j’ai dit, j’ai des réserves inépuisables,

Tout ce qui est à moi j’en fait cadeau.



Peu m’importe qui tu es, pour moi là n’est pas l’essentiel,

Ce que tu feras ou seras viendra seulement de ce que je t’inculquerai.



 Sur l’esclave des champs de coton, le nettoyeur de toilettes, je me penche,

Leur applique un baiser familial sur la joue droite.

Passe serment au fond de mon cœur de ne jamais les renier.



 Les femmes mûres pour la grossesse je leur fais des enfants deux fois plus forts, deux fois plus vifs

(A l’heure qu’il est j’éjacule le sperme de républiques mille fois plus arrogantes).



Y a-t-il un moribond, vite je me hâte, vite je tourne la poignée de la porte,

Repousse les draps au bout du lit,

Renvoie chez eux prêtre et médecin.



Je passe mes bras autour de l’affaibli, avec ma volonté de fer je le redresse,

Tiens, prend mon cou, désespéré,

Je jure que tu ne sombreras pas ! suspends tout ton poids à mes épaules !



 Mon souffle conquérant te dilate, flotte ! Je suis ta bouée,

D’une force en armes j’investis la moindre de tes chambres,

Ils sont mes amants, mes négateurs de tombes.



Tu peux dormir – nous monterons la garde toute la nuit eux et moi,

Doute ni décès ne s’essaieront à t’atteindre,

Tu es dans mon étreinte, remis en ma possession,

Et lorsque à l’aube tu renaîtras tu verras de tes propres yeux ce que je dis.

Auteur: Whitman Walt

Info: Dans "Feuilles d'herbe", Chanson de moi-même, traduction Jacques Darras, éditions Gallimard, 2002, pages 121-122

[ surhomme ] [ vitalité conquérante ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson