Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 6
Temps de recherche: 0.0281s

gouvernement

La différence entre un État-providence et un État totalitaire est une question de temps.

Auteur: Ayn Rand

Info:

[ devinette ] [ humour noir ] [ société de contrôle ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

positiver

Ne laisse pas ta flamme s'éteindre étincelle après précieuses étincelles, dans les eaux putrides du presque, du pas encore ou du pas du tout. Ne laisse pas périr ce héros qui habite ton âme dans les regrets frustrés d'une vie que tu aurais méritée, mais que tu n'as jamais pu atteindre. Tu peux gagner ce monde que tu désires tant, il existe, il est bien réel, il t'appartient. Tout est possible.

Auteur: Ayn Rand

Info: Le Frisson d'Atlas

[ réagir ]

 

Commentaires: 0

dévouement

Une personne qui choisit de travailler dans le champ social à plein-temps choisit de consacrer sa vie à ce que j’appelle "l’adoration de la nullité", l’adoration des failles humaines, des manques, des ratages, de la misère, des vices et des démons. L’adoration des personnes moralement, spirituellement, intellectuellement et psychologiquement inférieures. Une personne véritablement motivée par l’amour des valeurs et par un désir de soulager la souffrance humaine ne commencerait pas par les taudis et les arriérés. (à propos de travailleurs sociaux )

Auteur: Ayn Rand

Info: In L'ère de l'égoïsme : Comment le néolibéralisme l'a emporté de Darryl Cunningham

[ oblativité ] [ dénigrée ] [ pensée égoïste ]

 

Commentaires: 0

USA

Une fois que vous comprenez que les échanges se font non pas par consentement, mais par contrainte - une fois que vous comprenez que pour pouvoir produire, vous devez obtenir la permission de personnes ne produisant rien - lorsque vous vous rendez compte que la monnaie est redirigée vers ceux qui commercent non pas des biens, mais des faveurs - lorsque vous comprenez que ces hommes deviennent riches par la force plutôt que par le travail, et que vos lois ne vous permettent plus de vous protéger contre eux, mais de les protéger contre vous - une fois que vous comprenez que c'est la corruption qui est récompensée, et non l'honnêteté, alors vous savez que vous vivez dans une société vouée à l'échec.

Auteur: Ayn Rand

Info:

[ économie ] [ vingtième siècle ]

 

Commentaires: 0

irresponsable

À tout problème, il existe deux solutions : la bonne ou la mauvaise, la pire étant toujours la solution intermédiaire. L’homme qui se trompe garde un certain respect pour la vérité, ne serait-ce qu’en ayant accepté la responsabilité de choisir. Mais l’homme du moyen terme est un filou niant la vérité pour décréter qu’il n’existe ni choix ni valeur. Il veut être du côté des vainqueurs, espère tirer profit du sang des innocents, rend la justice en jetant voleur et volé en prison, résout les conflits en exigeant du sage et du fou que chacun fasse la moitié du chemin pour se rencontrer. Mélangez du poison à un aliment sain, c’est la mort qui gagnera. Dans un compromis entre le bien et le mal, c’est toujours le mal qui tire son épingle du jeu. Dans cette transfusion sanguine du bien vers le mal, l’homme du compromis est le tube de perfusion.

Auteur: Ayn Rand

Info: La Grève

[ indifférence ] [ relativisme ] [ intérêts personnels ] [ conséquences ] [ égoïsme ]

 
Commentaires: 1
Ajouté à la BD par Coli Masson

pensée-de-femme

Elle tenta de s'éloigner de lui. L'effort se brisa contre ses bras. Ses poings battaient ses épaules, contre son visage. Il bougea une de ses mains, prit ses deux poignets, les plaqua derrière elle, sous son bras, lui arrachant les omoplates. Elle tordit la tête en arrière. Elle sentit ses lèvres sur sa poitrine. Elle s'arracha... Elle se battait comme un animal. Mais sans faire aucun bruit. Elle n'appela pas à l'aide. Elle entendait les échos de ses coups dans le souffle de son haleine, et elle sut que c'était un halètement de plaisir... Elle ressentit de la haine et ses mains; ses mains qui se déplaçaient sur son corps, des mains qui cassent le granit. Elle a combattit dans une dernière convulsion. Puis la douleur soudaine jaillit, à travers son corps, jusqu'à sa gorge, et elle cria. Puis elle s'allongea immobile. C'était un acte qui pouvait être accompli dans la tendresse, comme un sceau d'amour, ou dans le mépris, comme un symbole d'humiliation et de conquête. Ce pouvait être l'acte d'un amant ou celui d'un soldat violant une femme ennemie. Il le faisait comme un acte de mépris. Pas d'amour, mais comme pour souiller. Ce qui la rendit immobile et soumise... l'acte d'un maître en train de prendre sans honte, dédaigneusement, possession d'elle, c'était le genre de capture qu'elle avait voulu...

Auteur: Ayn Rand

Info: The Fountainhead

[ dominée ] [ séduction ] [ femmes-hommes ]

 

Commentaires: 0