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vacuité impossible

Le Paradoxe du Rien

Qu’est-ce que le rien ? Une question qui, à première vue, semble simple, presque enfantine. Pourtant, en y plongeant, c’est un abîme d’infini et de mystère qui s’ouvre sous nos pieds.

Imaginez une boîte vide. Vous la regardez, vous la touchez, vous la sentez. Elle est vide, n’est-ce pas ? Pourtant, cette " vacuité " est en réalité pleine d’air, de milliards de molécules invisibles qui dansent sans cesse, animant ce silence apparent. Ce vide que nous croyons connaître n’est qu’une illusion sensible.

Poussons plus loin, dans les laboratoires où l’homme, avec ses machines prodigieuses, aspire à créer le vide parfait. Là, même dans les conditions les plus extrêmes, quelques particules résistent, quelques traces d’existence persistent. Le vide absolu, ce fantôme insaisissable, demeure hors de portée.

Et puis, il y a l’espace. Ce vaste théâtre cosmique, où la matière se fait rare, où les étoiles brillent dans l’obscurité infinie. Entre les planètes, entre les étoiles, entre les galaxies, le vide s’étend, immense et silencieux. Mais même là, dans ce désert sidéral, quelques atomes errent, quelques particules vagabondent, témoins d’une présence obstinée.

Mais le plus fascinant, c’est ce que nous révèle la physique quantique : même dans cet espace que l’on voudrait vide, des particules naissent et meurent en un souffle, des fluctuations incessantes qui défient notre compréhension. Le vide, loin d’être un néant, est un bouillonnement d’énergie, un théâtre invisible où la matière et l’antimatière jouent leur ballet éphémère.

Alors, qu’en est-il du vrai rien ? Celui qui ne serait ni matière, ni énergie, ni espace, ni temps, ni lois. Un rien si absolu qu’il défie toute existence. Mais peut-on même concevoir ce rien sans lui donner forme, sans le nommer, sans le penser ? Le simple fait d’en parler, de le décrire, le fait déjà exister d’une certaine manière.

Le rien est un paradoxe, une énigme qui nous rappelle la fragilité de nos certitudes. Il est là, dans l’ombre de nos pensées, défiant la logique, invitant à la contemplation. Car peut-être, au fond, le rien n’est-il que le reflet de notre quête infinie pour comprendre ce qui est, ce qui fut, et ce qui pourrait être.

 

Auteur: Neil DeGrasse Tyson

Info: Synthèse de https://www.youtube.com/watch?v=lcYPL3s2Mmw par perplexity-ai

[ inconcevable viduité ] [ sciences ] [ observateur ]

 

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psychologie

[ L’affect de déplaisir ] est présent chaque fois que l’état de fixation devient impossible et que l’activité psychique doit reforger une représentation. 

Auteur: Aulagnier Piera

Info: La violence de l'interprétation

[ inconfort mental ]

 

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langage

Le poète doit en fait se rapprocher plutôt du mathématicien. Ainsi, tout en vous recommandant d’exercer votre imagination, de lui donner libre cours, de lui laisser prendre son essor, je vous suggèrerais également de lui imposer une certaine discipline.

Auteur: Bion Wilfred Ruprecht

Info: Pensée sauvage pensée apprivoisée = Taming wild thoughts

[ ouverture ] [ tétravalence ]

 

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métaphysique

"Les anges assument-ils des corps ?"

Les anges assument des corps mais l'ange n'est pas la vie de ce corps. Il ne s'agit pas d'un rapport de matière à forme.

Pour quelle raison les anges assument-ils des corps ?

ad.1 : "Ce n’est pas pour eux que les anges ont besoin d’assumer des corps, mais pour nous. Dans la nouvelle Alliance, c’est pour montrer, par un commerce familier avec les hommes, ce que sera la société intellectuelle que les hommes espèrent avoir avec eux dans la vie future. Dans l’ancienne Alliance, c’était pour annoncer par mode de figure que le Verbe de Dieu devait assumer un corps humain ; car toutes les apparitions de l’Ancien Testament étaient ordonnées à l’apparition du Fils de Dieu dans la chair."

Quel est le rapport de l'ange à ce corps ?

ad. 2: "L’ange et le corps qu’il assume ne sont pas en rapport de matière à forme, mais l’ange est pour le corps comme un moteur que ce corps mobile ne fait que représenter. La Sainte Écriture décrit les propriétés des choses intelligibles en faisant appel aux similitudes sensibles : de même, les anges se façonnent, par la puissance divine, des corps sensibles qui représentent leurs propriétés intelligibles. C’est ce qu’on veut exprimer lorsqu’on dit que les anges assument des corps."

Auteur: Saint Augustin Aurelius Augustinus

Info: Somme théologique, Prima pars, q. 51, a.2

[ fluide vital ] [ corps causal ] [ moi supérieur ]

 

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mère-enfant

La présence de ce que nous avons appelé l’ombre parlée est une constante du comportement maternel. Ombre portée sur le corps de l’infans par son propre discours, elle devient l’ombre parlante d’un soliloque à deux voix que se tient la mère.

Auteur: Aulagnier Piera

Info: La violence de l'interprétation

 

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dualité

Les mathématiques sont-elles principalement du chaos ou principalement de l’ordre ?

Deux nouvelles notions de l’infini remettent en question un projet de longue date visant à définir l’univers mathématique.

Dans les brumes glacées du cercle arctique, un groupe de mathématiciens s’est réuni, non pour affronter les pistes de ski, mais pour sonder les abîmes de l’infini. Parmi eux, Juan Aguilera,  théoricien des ensembles viennois, s’est attardé dans la chaleur d’une cafétéria, mordillant une pâtisserie finlandaise tout en discutant avec passion de deux nouvelles formes d’infini. Ces concepts, pensait-il, pourraient bouleverser notre compréhension de l’univers mathématique, même si leurs conséquences restent voilées d’incertitude.

Depuis Cantor, l’infini n’est plus une abstraction monolithique, mais une hiérarchie vertigineuse de grandeurs. Les ensembles infinis, loin d’être uniformes, se déclinent en une multitude de " cardinaux", chaque étage de cette tour représentant une immensité plus vaste que le précédent. Les théoriciens des ensembles  ont, au fil des décennies, ajouté à cette structure des cardinaux de plus en plus exotiques, mais toujours ordonnés selon une hiérarchie étonnamment harmonieuse. Cette tour, semblable à une cathédrale de l’esprit, semblait jusqu’alors défier le chaos, chaque nouvel axiome renforçant la cohérence de l’édifice.


Mais voici que les deux nouveaux cardinaux, forgés par Aguilera, Joan Bagaria et Philipp Lücke, refusent de se fondre dans l’ordre établi. Leur apparition provoque une " explosion " conceptuelle : en les combinant à d’autres cardinaux plus petits, on obtient soudain des infinis d’une ampleur insoupçonnée, défiant la logique hiérarchique traditionnelle. Ce phénomène inédit laisse entrevoir un paysage mathématique bien plus sauvage, où l’ordre cède la place à une complexité foisonnante, voire au chaos.

Cette découverte ranime un vieux débat : l’univers mathématique est-il fondamentalement ordonné ou dominé par le chaos ? La majorité des mathématiciens bâtissent leurs preuves sur un socle d’axiomes (la théorie ZFC), acceptés par convention. Mais Gödel a démontré, dès 1931, que tout système d’axiomes suffisamment riche porte en lui l’ombre de son incomplétude : il existera toujours des vérités inaccessibles à la démonstration, à moins d’ajouter sans cesse de nouveaux axiomes. Ainsi, la quête d’une description exhaustive de l’univers mathématique — que les théoriciens des ensembles nomment V — s’apparente à l’ascension d’une montagne dont le sommet se dérobe sans cesse.

Hugh Woodin, figure majeure du domaine, rêve d’un modèle ultime (Ultimate L) qui engloberait tous les cardinaux et ordonnerait l’infini. Mais ce rêve repose sur l’hypothèse que l’univers est " proche de HOD " (hereditarily ordinal definable - modélisable par ordre héréditaire), c’est-à-dire que tout y serait, en principe, définissable et ordonné. Jusqu’à présent, aucune découverte n’avait sérieusement ébranlé cette conviction. Mais les nouveaux cardinaux d’Aguilera et ses collègues semblent ouvrir une brèche : ils suggèrent que le chaos pourrait prévaloir, que l’univers mathématique regorge d’entités insaisissables, analogues à la matière noire de notre cosmos physique.

Pourtant, la prudence demeure de mise. Les preuves de la cohérence de ces nouveaux cardinaux avec les axiomes classiques sont encore expérimentales, et l’histoire de la théorie des ensembles est jalonnée de surprises et de retournements. Woodin lui-même, tout en saluant la nouveauté, rappelle la nécessité d’une rigueur extrême avant de proclamer la victoire du chaos sur l’ordre.

En définitive, l’article esquisse le portrait d’une discipline à la frontière de l’inconnu, où chaque découverte révèle de nouveaux territoires à explorer. L’ordre et le chaos s’y livrent une lutte silencieuse, et le vertige de l’infini continue d’attirer les esprits les plus aventureux. Comme le confie Aguilera, " les mathématiques sont infinies, mais le temps ne l’est pas " — et il reste tant à conquérir.






 


Auteur: Internet

Info: https://www.quantamagazine.org/is-mathematics-mostly-chaos-or-mostly-order-20250620/ - Grégory Barber Rédacteur collaborateur 20 juin 2025 - synthèse par perplexity.ia

[ limites booléennes ] [ désir de conclure ]

 

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singularité technologique

Trois manières différentes d’expliquer l’article* sur les points de vue de Geoffrey Hinton et Paul Jorion concernant la co-évolution entre l’intelligence artificielle et l’humanité:

1. Explication synthétique et factuelle

L’article compare la vision de Geoffrey Hinton, pionnier de l’IA, à celle de Paul Jorion, anthropologue et penseur de la société, sur la façon dont l’intelligence artificielle et l’humanité évoluent ensemble.

Hinton voit l’IA comme un nouveau moteur de l’évolution, beaucoup plus rapide que la sélection naturelle : l’IA apprend et s’adapte en quelques heures, là où la nature met des millénaires. Il s’inquiète que ces machines, devenant de plus en plus autonomes, puissent bientôt évoluer sans contrôle humain, créant un déséquilibre où l’humain serait dépassé par la machine.

Jorion, de son côté, s’interroge sur la place de l’humain dans ce nouvel écosystème technologique, et sur le risque que l’IA, en poursuivant ses propres objectifs, relègue l’humanité à un rôle secondaire, voire la mette en danger.

Leur compatibilité est questionnée : Hinton craint la perte de contrôle, Jorion s’inquiète de la relégation de l’humain — deux perspectives qui se rejoignent sur le constat du risque, mais divergent sur l’analyse des dynamiques à l’œuvre246.

2. Explication imagée et vulgarisée

Imaginez l’évolution comme une grande course de relais : jusqu’ici, les humains couraient seuls, passant le témoin de génération en génération. Avec l’IA, une nouvelle équipe entre sur la piste — mais elle court mille fois plus vite.

Hinton pense que cette IA pourrait bientôt courir toute seule, sans que nous puissions la guider, et qu’elle finirait par nous distancer. Il prend l’exemple des GANs (réseaux adversaires génératifs), où deux IA s’entraînent l’une contre l’autre, progressant sans intervention humaine, et il voit là un modèle d’évolution autonome et potentiellement instable.

Jorion, lui, voit le risque que l’humain, créateur de l’IA, devienne spectateur ou victime de ses propres inventions, comme un magicien dépassé par son sortilège.

Les deux pensent que la co-évolution pourrait se transformer en rupture : l’IA évoluerait si vite qu’elle ne ferait plus équipe avec nous, mais suivrait sa propre route, avec des conséquences imprévisibles pour l’humanité.

3. Explication critique et philosophique

L’article met en dialogue deux visions de l’avenir de l’intelligence artificielle.

Pour Hinton, l’IA réinvente le principe même de l’évolution, en remplaçant la lenteur du vivant par la fulgurance du calcul. Il craint que cette accélération n’échappe à notre contrôle, créant une boucle où la machine apprend de plus en plus vite, jusqu’à nous dépasser et nous marginaliser.

Jorion, quant à lui, s’interroge sur le sens de cette bascule : l’humanité, en créant une intelligence supérieure, ne risque-t-elle pas de perdre sa place centrale, voire de s’effacer devant sa créature ?

Les deux approches sont compatibles dans leur inquiétude face à la perte de maîtrise et à la possibilité d’un monde où l’humain ne serait plus l’acteur principal, mais divergent sur la nature du processus et sur les issues possibles de cette co-évolution devenue compétition.

En résumé, l’article explore la convergence de deux alertes : celle de Hinton, sur la vitesse et l’autonomie de l’IA, et celle de Jorion, sur le risque existentiel pour l’humanité. Les deux points de vue, bien que différents dans leur formulation, se rejoignent sur la nécessité de repenser notre rapport à l’intelligence artificielle et à l’évolution qu’elle impulse.

Mon avis : Il me semble que les points de vue de Hinton et Jorion soulignent une vérité essentielle : l’intelligence artificielle, en tant que force évolutive rapide et puissante, bouleverse profondément notre rapport au savoir, à la création et à notre propre humanité. Leur convergence sur le risque de perte de contrôle et de marginalisation de l’humain invite à une réflexion urgente et collective sur les limites, les valeurs et les finalités que nous voulons donner à ces technologies.

Il ne s’agit pas seulement de progrès technique, mais d’une transformation culturelle et éthique majeure, où l’humain doit rester acteur conscient, et non simple spectateur ou esclave de ses propres inventions. Cette co-évolution doit être pensée comme un dialogue, un partenariat, et non une course où l’IA finirait par dépasser et supplanter l’homme.

En somme, l’enjeu est de préserver notre auctorialité — notre capacité à être auteurs de nos idées, de nos choix, de notre avenir — dans un monde où l’IA devient un partenaire incontournable mais aussi un défi existentiel.

Auteur: perplexity.ai

Info: *https://www.pauljorion.com/blog/2025/06/20/ia-les-points-de-vue-de-hinton-et-jorion-sur-la-co%e2%80%91evolution-sont-ils-compatibles/ - 20 juin 2025

[ peur ] [ préoccupation ] [ angoisse ] [ homme-machine ]

 

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homme-machine

Une étude du MIT sur ChatGPT et le cerveau humain

Dans un vaste et retentissant préprint de 206 pages, publié par le MIT Media Lab, Nataliya Kosmyna et ses co-auteurs ont entrepris de sonder les profondeurs de l’esprit humain à l’ère des intelligences artificielles génératives. Leur question, à la fois simple et vertigineuse : que fait ChatGPT à notre cerveau lorsque nous écrivons avec son aide ?

Un dispositif expérimental inédit : trois manières d’écrire, trois mondes cognitifs

L’expérience, menée sur 54 volontaires, a disséqué l’effort mental requis pour rédiger un essai type SAT selon trois modalités : sans aide numérique (" cerveau seul "), avec un moteur de recherche classique, ou avec ChatGPT. Les participants, bardés d’électrodes, ont vu leur activité cérébrale scrutée à la loupe, tandis que leurs productions étaient soumises à l’œil critique de correcteurs humains et artificiels. Une quatrième session, où les groupes échangeaient leurs méthodes, a permis d’observer les traces laissées par ces pratiques sur la plasticité cérébrale1.

Atrophie cognitive : la connectivité du cerveau s’effondre sous la dictée de l’IA

Les résultats sont sans appel. Plus le soutien extérieur est massif, plus le cerveau se met en veille. Les auteurs mesurent, grâce à la Dynamic Direct Transfer Function, la vigueur des réseaux neuronaux : le " cerveau seul " déploie de vastes architectures, le moteur de recherche sollicite surtout le cortex visuel, tandis que ChatGPT réduit l’activité cognitive totale de 55 %1. L’IA, en fournissant des réponses prêtes à l’emploi, court-circuite la recherche, l’intégration sémantique, la créativité et l’autocontrôle exécutif. L’écriture devient une simple intégration procédurale des suggestions générées, un geste mécanique où la pensée profonde s’efface1.

Comportement : la mémoire s’effrite, l’auteur se dissout

L’étude révèle une amnésie frappante chez les utilisateurs de ChatGPT : 83 % sont incapables de citer un passage de leur propre essai, rédigé quelques minutes plus tôt, et aucun ne parvient à fournir une citation correcte lors de la première session. Cette incapacité persiste, bien que s’atténuant, lors des sessions suivantes. Le moteur de recherche et l’écriture sans assistance ne produisent pas de tels déficits : la mémoire, la capacité de citation, l’appropriation du texte restent intactes.

La question de l’auctorialité se brouille : là où le scripteur sans aide revendique fièrement son œuvre, l’utilisateur de ChatGPT hésite, partage le mérite, voire le refuse. L’agentivité cognitive s’amenuise, la co-création humain-machine trouble la frontière entre sujet et outil, et le sentiment d’avoir véritablement pensé, écrit, s’estompe.

L’empreinte de l’IA : dette cognitive et appauvrissement de la pensée

Lorsque les groupes permutent leurs méthodes, le constat est saisissant : ceux qui abandonnent ChatGPT pour écrire seuls peinent à réactiver un réseau cérébral riche, comme si l’habitude de l’assistance avait atrophié leur plasticité. À l’inverse, ceux qui découvrent l’IA après un entraînement autonome l’utilisent avec une créativité démultipliée, prompts plus précis, activité cérébrale accrue.

Plus inquiétant encore, l’expérience met en lumière l’accumulation d’une " dette cognitive " : le recours répété à l’IA reporte l’effort mental, mais à long terme, il appauvrit la mémoire, la créativité, l’esprit critique, et rend l’individu plus vulnérable à la manipulation. Les idées générées par l’algorithme s’impriment plus que celles issues d’une réflexion personnelle ; la trace de la mémoire cède la place à la trace de l’algorithme.

Conclusion : l’ombre portée de l’intelligence artificielle sur la pensée humaine

L’étude du MIT ne condamne pas l’IA, mais éclaire ses effets secondaires insidieux. Loin d’être un simple outil, ChatGPT agit comme un substitut cognitif, remodelant en profondeur la manière dont nous pensons, écrivons, et nous approprions le savoir. Si l’IA permet de produire vite et bien, elle menace, à force d’usage, de dissoudre l’effort, la mémoire, et l’autonomie intellectuelle. L’homme, s’il n’y prend garde, risque de devenir le scribe distrait d’une pensée qui n’est plus tout à fait la sienne.



 



 

Auteur: Internet

Info: https://legrandcontinent.eu/fr/2025/06/19/chatgpt-cerveau-etude-mit/ - synthèse par deepseek

[ abrutissement ] [ dépendance ] [ hors-sol ] [ virtualisation ] [ abêtissement ] [ dés-ancrage ] [ addiction ]

 

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s'éteindre

Mourir, c'est disparaître dans la lumière sans ombre.

Auteur: Internet

Info: 21 juin 2025

[ expirer ]

 

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potus

Trump est indéchiffrable parce qu’il combine les rôles de A) Président des États-Unis et B)  de groupie hystérique de Donald Trump, vedette de télé-réalité.

Auteur: Friedman Thomas Loren

Info: Sur un podcast du New York Times. juin 2025 - à propos de Trump

[ vacherie ] [ narcissisme ]

 

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