Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 12
Temps de recherche: 0.0533s

vacherie

Si vous voulez avoir une idée de la musique folklorique turque, imaginez un homme qui subirait une vasectomie sans être anesthésié.

Auteur: Bryson Bill

Info:

[ musique ]

 

Commentaires: 0

bavardage

Suivre deux journalistes sportifs commentant une rencontre de cricket à la radio, c'est comme écouter deux pêcheurs assis dans une barque un jour où le poisson ne mord pas.

Auteur: Bryson Bill

Info: Nos voisins du dessous : Chroniques australiennes

[ ennui ]

 

Commentaires: 0

animal

Voici les instructions pour mimer un pigeon : 1. promenez-vous sans but pendant un moment tout en picotant des bouts de cigarette ou autres objets adéquats. 2. Soyez effrayés par quelqu'un qui passe près de vous et envolez vous précipitamment vers un endroit surélevé. 3. Lâchez une crotte 4.Recommencez.

Auteur: Bryson Bill

Info:

[ comédie ]

 

Commentaires: 0

cosmos

Réglez votre télévision sur une chaîne qu'il ne reçoit pas et environ 1 % des parasites dansants que vous voyez sont dus à cet ancien vestige du Big Bang. La prochaine fois que vous vous plaindrez qu'il n'y a rien d'allumé, rappelez-vous que vous pouvez toujours regarder la naissance de l'univers.

Auteur: Bryson Bill

Info: A Short History of Nearly Everything

[ écran neigeux ] [ tv sans signal ]

 
Commentaires: 3
Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

humour

"Je pourrais être mort dans la minute qui vient, dit-il sur un ton sinistre en me saisissant le bras. Si on me tire dessus, rends-moi un service. Téléphone à mon frère et dis-lui que j’ai caché 10 000 $ dans un pot de café sous la pelouse de son jardin."
" T’as caché 10 000 $ dans le jardin de ton frère ? "
"Bien sûr que non, mais c’est une petite vengeance et ça lui servira de leçon. Allons-nous-en."

Auteur: Bryson Bill

Info: Promenons-nous dans les bois

[ post-mortem ] [ farce ] [ mystification ]

 

Commentaires: 0

visionnaire

De tous les membres de la Royal Society mon préféré est le révérend Thomas Bayes, obscur ecclésiastique du Kent au XVIIIe siècle et brillant mathématicien, qui a conçu une équation complexe connue sous le nom de théorème de Bayes, qui peut être utilisée pour calculer des distributions de probabilité. Cette équation n'avait aucune application pratique de son vivant, mais aujourd'hui, grâce aux ordinateurs, elle est couramment utilisée dans la modélisation du changement climatique, l'astrophysique et l'analyse des marchés boursiers.


Auteur: Bryson Bill

Info: Have faith, science can resolve our problems", Daily Telegraph, 26 sept 2010

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

introduction

Bienvenue. Et félicitations. Ravi de voir que vous y êtes arrivé. Je sais que ça n'a pas été facile - et même un peu plus compliqué que vous ne le soupçonnez.
Avant tout, il a fallu, pour que vous soyez là aujourd'hui, que des billions d'atomes errant au hasard aient la curieuse obligeance de s'assembler de façon complexe pour vous créer. Cet arrangement est si particulier qu'il n'a jamais été tenté auparavant et n'existera qu'une seule fois. Pendant les années à venir (encore nombreuses, souhaitons-le), ces minuscules particules vont accomplir sans rechigner les milliards de tâches délicates nécessaires pour vous conserver intact et vous permettre de jouir de cet état suprêmement agréable, mais pas toujours apprécié à sa juste valeur, qu'est l'existence.

Auteur: Bryson Bill

Info: Une histoire de tout, ou presque...

[ réception ] [ singularité ] [ début ] [ accueil ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

bistro

La serveuse arriva. Vous avez choisi ?
- Excusez-moi, il me faut encore quelques minutes.
- Sans problème, dit-elle, prenez votre temps.
Elle disparut de mon champ de vision, compta jusqu'à cinq et revint. Vous avez choisi, maintenant ?
- Désolé, j'ai vraiment besoin de plus de temps.
- ça va, dit-elle et elle repartit.
Cette fois-ci, elle dut bien compter jusqu'à vingt mais j'étais toujours loin d'avoir compris les centaines d'options qui s'offraient à moi, heureux client de la Pizza Hut, quant elle revint prendre la commande.
- V's êtes pas du genre rapide, vous ! fit-elle remarquer gaiement.
J'étais gêné. Désolé, je ne suis plus dans le coup, je... je sors de prison.
Ses yeux s'agrandirent. Sans blague ?
- Oui, j'ai assassiné une serveuse qui me bousculait.

Auteur: Bryson Bill

Info: Motel Blues

[ répartie ] [ humour ]

 

Commentaires: 0

blague

Un homme arrive à la finale de la coupe de football australien à Melbourne et constate avec surprise que le siège à côté de lui est vacant. Or généralement, tous les billets de finale sont vendus des mois à l'avance et il ne reste jamais le moindre place libre. L'homme s'étonne donc.
- excusez-moi dit-il à son voisin, mais comment se fait-il que cette place soit inoccupée?
- c'est la place de ma femme, réplique celui-ci, un peu morose. Malheureusement elle est décédée.
- Mais c'est affreux ! Je suis terriblement navré!
- Ouais. Elle n'a jamais raté un match de sa vie.
- Vous auriez pu proposer sa place à un ami ou a l'un de vos parents?
- Impossible : ils sont tous à l'enterrement.

Auteur: Bryson Bill

Info: Nos voisins du dessous : Chroniques australiennes

[ couple ] [ deuil ]

 

Commentaires: 0

communauté

La canicule transforma la vie des citadins. Elle créa un sentiment de calvaire partagé et suscita des échanges entre inconnus. Pour une fois, il y avait un sujet de conversation commun à tout le monde. Le quotidien prit des allures communautaires qu'on avait presque oubliées. Les gens s'asseyaient sur leur perron. Les barbiers installaient des fauteuils à l'extérieur et rasaient leurs clients à l'ombre d'un arbre ou d'un store. Partout les fenêtres étaient grandes ouvertes, celles des bureaux, des appartements, des hôtels, des bibliothèques, des hôpitaux, des écoles, si bien que les bruits de la ville circulaient partout librement. Le mugissement lointain du flot des voitures, les cris ponctuant les jeux des enfants, une dispute dans l'immeuble voisin - tous ces sons et mille autres encore vous parvenaient tandis que vous travailliez, lisiez ou essayiez de trouver le sommeil. Aujourd'hui, on rentre chez soi pour échapper au vacarme urbain ; dans les années 20, il pénétrait en grande partie avec vous à l'intérieur.

Auteur: Bryson Bill

Info: L'été où tout arriva

[ torride ] [ tropical ]

 

Commentaires: 0