pensée-de-femme
Les feuilles bigrement vertes
Pour un mois d’octobre,
Ma porte pour toi est toujours ouverte
Des sentiments, jamais sobre
Pour un mois d’octobre
Les oiseaux chantent à tue-tête,
Des sentiments, jamais sobre
En veux-tu encore des épithètes ?
Les oiseaux chantent à tue-tête
Le soleil s’attarde au-dessus des toits,
En veux-tu encore des épithètes ?
Nous le savons, l’amour n’a rien d’courtois
Le soleil s’attarde au-dessus des toits
La douceur plonge au cœur des arbres,
Nous le savons, l’amour n’a rien d’courtois
Cette nuit, prends bien garde
La douceur plonge au cœur des arbres
Des dorures à l’horizon,
Cette nuit, prends bien garde
Mon tendre sauvageon
Des dorures à l’horizon,
Ma porte pour toi est toujours ouverte
Mon tendre sauvageon,
Les feuilles bigrement vertes.
Auteur:
Huppen Iocasta
Années: 1971 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: F
Profession et précisions: poétesse, chroniqueuse littéraire, animatrice d’ateliers d’écriture
Continent – Pays: Europe - Belgique - Roumanie
Info:
Dorures à l’horizon
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séductrice
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accueillante
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poème
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