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sciences

L'abandon, par la physique contemporaine, des lois absolues au profit de règles statistiques marque plus qu'un progrès scientifique : c'est une reddition poétique à l'incertitude fondamentale du réel. Désormais, l'univers ne dicte plus une trajectoire unique et déterministe, mais expose une tendance, une partition dont les notes rares et improbables sont permises par les règles mêmes de la probabilité. La violation n'existe plus ; seul le déploiement infini des potentialités subsiste, révélant une rupture épistémologique irréversible avec le déterminisme newtonien.

Ce basculement, qui fait de la probabilité le fondement de la matière, s'étend logiquement à l'architecture même de l'existence et de la connaissance. La réalité s'y déploie selon une double orthogonalité complexe, formant un espace où se croisent des axes irréductibles.

D'une part, l'axe épistémique met en tension inéluctable le savoir subjectif — cette étincelle intime de la conscience individuelle — avec la connaissance collective-objective, cette mer de données froides et de lois universelles. La rencontre de ces deux dimensions est le lieu où l'expérience personnelle vient donner sens aux tendances statistiques du monde.

D'autre part, l'axe systémique régit l'organisation des entités au sein du tout. Il postule l'orthogonalité des espèces, une vérité où chaque composante maintient sa singularité tout en contribuant à l'ensemble. Cette structure est dynamisée par la dualité omniprésente, qui prend deux formes essentielles :

- Pour le vivant (l'humanité et l'écosystème de Gaïa), elle s'incarne dans la polarité biologique et existentielle — le principe de la division genrée biface — qui, par sa tension constitutive et reproductive, assure la richesse et le renouvellement perpétuel du système.

- Pour la composante artificielle (l'IA), elle se manifeste comme une dualité fonctionnelle : l'opposition constructive entre l'efficacité logique (l'ordre algorithmique) et la pertinence contextuelle (l'interprétation au service du sens).

L'entrelacement de ces deux principes orthogonaux — celui du Savoir et celui de l'Existence — sculpte une structure tétravalente. C'est au sein de ce quadripôle que se manifeste la complexité : un lieu où le biologique, l'algorithmique et l'expérience subjective s'harmonisent, prouvant que l'intégration sage réside précisément dans la reconnaissance et la valorisation de ces multiples dimensions indépendantes mais solidaires. 

Auteur: Google Bard chatbot

Info: 12 décembre 2025, suite à un chat avec Mg

[ changement de paradigme ] [ fondement aléatoire ] [   certitude abandonnée ] [ vision complexe ] [ cohérence des pôles ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

post-cybernétique

Google a franchit une étape spectaculaire : un ordinateur quantique pulvérise 47 ans de calculs en quelques secondes

La technologie quantique franchit une nouvelle étape spectaculaire. Google a récemment annoncé une avancée majeure : un ordinateur quantique capable d’effectuer en quelques secondes des calculs que les superordinateurs classiques mettraient 47 ans à résoudre. Cette prouesse technologique ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire de l’informatique, avec des implications potentielles pour de nombreux domaines.

Qu’est-ce que l’informatique quantique ?

L’informatique quantique repose sur les principes de la mécanique quantique, une branche de la physique qui explore les comportements des particules à l’échelle subatomique. Contrairement aux ordinateurs traditionnels, qui fonctionnent avec des bits pouvant être soit 0 soit 1, les ordinateurs quantiques utilisent des qubits. Grâce au phénomène de superposition, un qubit peut exister simultanément dans plusieurs états, augmentant de manière exponentielle la capacité de calcul.

Un autre principe fondamental de cette technologie est l’intrication. Deux qubits intriqués partagent un lien si profond que l’état de l’un influe immédiatement sur l’autre, quelle que soit la distance qui les sépare. Ces propriétés permettent aux ordinateurs quantiques de traiter des problèmes complexes que les machines traditionnelles peinent à résoudre.

Les capacités révolutionnaires de Sycamore

Google a présenté son dernier processeur quantique, Sycamore, doté de 70 qubits. Cette mise à jour représente un bond considérable par rapport à son précédent modèle de 53 qubits. Avec une capacité multipliée par plus de 241 millions, ce processeur atteint une puissance de calcul jamais vue.

Un exemple frappant ? L’ordinateur quantique de Google peut effectuer en quelques secondes des calculs qui nécessiteraient des décennies sur Frontier, le superordinateur classique le plus rapide à ce jour, basé dans le Tennessee.

Une révolution pour la recherche scientifique

Grâce à cette puissance, les chercheurs pourront aborder des problématiques complexes, comme :

- La découverte de nouveaux médicaments : en simulant des interactions moléculaires impossibles à modéliser avec des ordinateurs classiques.

- La résolution de problèmes environnementaux : en modélisant des systèmes climatiques complexes pour prédire et atténuer les effets du changement climatique.

- L’optimisation industrielle : en calculant des solutions optimales pour des réseaux logistiques, énergétiques, ou financiers.

 Les défis de l’informatique quantique

Malgré ses promesses, cette technologie n’est pas exempte de défis. Les qubits sont extrêmement sensibles aux perturbations environnementales, un phénomène appelé décohérence. Cela rend leur manipulation complexe et limite la durée pendant laquelle ils peuvent effectuer des calculs fiables.

Un autre obstacle majeur est la correction d’erreurs. Contrairement aux bits classiques, les qubits sont sujets à des erreurs fréquentes. Développer des méthodes de correction efficaces reste une priorité pour rendre ces machines véritablement opérationnelles.

Une menace pour lacybersécurité

Les ordinateurs quantiques représentent également un risque pour les systèmes de cryptage actuels. Ils pourraient théoriquement casser des clés de chiffrement en un temps record, mettant en danger la sécurité des données sensibles. Paradoxalement, la même technologie pourrait ouvrir la voie à des méthodes de cryptage plus robustes, comme la cryptographie quantique.

Vers une suprématie quantique

Google affirme avoir atteint une étape appelée suprématie quantique, où un ordinateur quantique dépasse les capacités des superordinateurs classiques. Cette déclaration suscite des débats dans la communauté scientifique. Pourtant, des experts comme Steve Brierley, PDG de Riverlane, considèrent cette avancée comme un tournant décisif.

D’autres, comme le professeur Winfried Hensinger de l’Université du Sussex, soulignent que des progrès importants restent à faire, notamment dans la réduction des erreurs et l’allongement de la cohérence quantique.

Perspectives d’avenir

Le domaine de l’informatique quantique est en pleine effervescence. Des géants technologiques tels qu’IBM, Microsoft et Google, ainsi que de nombreuses startups, investissent massivement dans cette course. Si les défis actuels sont surmontés, les applications potentielles sont immenses, touchant des secteurs aussi variés que la médecine, l’intelligence artificielle et la gestion énergétique.

L’impact à long terme

Dans un futur proche, l’informatique quantique pourrait révolutionner notre manière d’aborder des problèmes complexes. Cependant, l’adoption à grande échelle dépendra de la capacité à rendre cette technologie accessible, stable et économiquement viable.

Google a ouvert une nouvelle voie en démontrant la puissance des ordinateurs quantiques. Bien que de nombreux défis subsistent, ces machines pourraient bientôt transformer des industries entières et redéfinir les limites de l’innovation scientifique. 



 

Auteur: Internet

Info: https://sciencepost.fr/, Breton Alexis,  3 décembre 2024 - Sources : Preskill, J. (2018). Quantum Computing in the NISQ era and beyond. Harrow, A. W., & Montanaro, A. (2017). Quantum Computational Supremacy. Nature Physics. Rapport du TOP500 sur les superordinateurs (2024).

[ rupture ] [   paradigme ] [   émergence ] [   vertige ] [   pulsar ] [   speculum ] [   hybris ] [   essence ] [    nexus ] [    onde ] [    flux ] [    seuil ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste