lumière
Les femmes pensent à toutes les couleurs sauf à l'absence de couleur. J'ai dit que le noir a tout. Blanc aussi. Leur beauté est absolue. C'est l'harmonie parfaite.
Auteur:
Chanel Coco
Années: 1883 - 1971
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: F
Profession et précisions: couturière
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Chanel
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additive
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soustractive
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synthèse
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mathématiques
Si l'hypothèse de Bernhard Riemann est vraie... la fonction f(u) construite à partir des nombres premiers a un spectre discret, c'est-à-dire que le support de sa transformation de Fourier est discret. Si l'hypothèse de Riemann est fausse, ce n'est pas le cas. Les fréquences rappellent alors la décomposition d'un son en ses harmoniques constitutives. Il y a donc un sens par lequel nous pouvons donner cet unique énoncé non technique quand à l'hypothèse de Riemann : "Les nombres premiers ont de la musique en eux".
Auteur:
Keating Jonathan Peter
Années: 1963 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: mathématicien
Continent – Pays: Europe - Angleterre
Info:
The Riemann Zeros and Eigenvalue Asymptotic. SIAM Review, 41, Number 2 (1999) (p. 238). Ecrit avec Sir Michael Victor Berry
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mystère
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synthèse additive soustractive
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perception des couleurs
Cette propriété très importante des bâtonnets, et d'ailleurs aussi de chaque type de cône, cette limitation de la production à une seule dimension de variation, peut être nommée principe d'univariance et être énoncée ainsi : "Le rendement d'un récepteur dépend de sa capture quantique, mais pas de quels quanta sont captés." ... La théorie de Young sur la vision des couleurs peut maintenant être formulée en termes de pigments coniques. "Il existe trois classes de cônes photorécepteurs contenant chacun un pigment visuel différent. Le rendement de chaque cône est univariant, et dépend simplement de la capture quantique de son pigment. Notre sensation de couleur dépend des rapports de ces trois sorties de cônes".
Auteur:
Rushton William Albert Hugh
Années: 1901 - 1980
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: professeur de physiologie
Continent – Pays: Europe - Angleterre
Info:
Principle of Univariance, concerning color vision, as stated in Lecture to a meeting of the Physiological Society at Chelsea College, London (17 Apr 1970), and reported in 'Pigments and Signals in Colour Vision', The Journal of Physiology (1972), 220 No. 3, 4P.
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cognition
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synthèses additive et soustractive
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triade
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photonique
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indéterminisme
Certains artistes n'aiment pas photographier ou peindre un individu qui a eu de la chirurgie plastique - ils trouvent que c'est difficile à traiter parce que ça n'a jamais l'air... juste. Cette remarque me remet en mémoire l'observation d'une astrologue qui affirmait qu'on ne peut établir le profil astrologique de quelqu'un dont l'instant de la naissance a été modifié par une césarienne.
Qu'est-ce qui est naturel, qu'est-ce qui est artificiel ?
Balayant ces fariboles humaines j'aurai tendance à penser qu'il y a "ce qui est". Disons : une entité en interaction avec les autres entités et l'environnement général. Cette interaction étant, par effet miroir, le principe même de l'existence de qui rapporterait l'observation, quelle que soit la profondeur et l'étendue de l'univers qu'il refléterait, le contraste et la finesse du calibrage de ses examens. Comme on mesurerait les dimensions de sa prison jusqu'à l'absurde. Que reste-t'il alors ? L'esprit ? Comme un point infini qui ne s'arrête jamais.
Nous sommes un principe d'action... en action. Sitôt qu'on stoppe le temps, comme par exemple lors de la mesure du lieu et de la vitesse d'un électron en physique quantique, on perd les repères. Le temps arrêté n'a aucun sens. Je suis un point infime de l'univers, planté au milieu de ses 800 octaves. (Sa taille telle que nous somme capable de la mesurer ce jour, considérant que la plus petite est l'électron et la plus grande l'étendue maximale du cosmos).
Alors : constat de l'observateur humain. Si je vais vers le minuscule visuel, tout s'accélère, alors que vers l'immense je m'englue dans un ralentissement majestueux et d'apparence quasi figée (Pensons ici aux extraordinaires images d'Eta Carinae en train d'exploser depuis 160 ans.)
Comme dans la musique. N'est qu'en musique plus on monte en vitesse de vibrations plus ça devient lumineux, ça s'élève. Au contraire du grave, sombre, lent et profond, qui possède quelque chose du tellurique de la "roche mère". Il y a là une inversion qui fait immanquablement penser à celle des couleurs lumières et des couleurs matières... devant nos sens ébahis. Nous sommes de complexes robots, limités. La mesure de la réalité, sous forme de temps et d'espace, n'est que la durée de nos vies, éventuellement de l'espèce et du monde couplée à la portée de nos yeux et celle de notre imagination.
Auteur:
Mg
Années: 1958 - 20??
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: musicien, compilateur, sémioticien, directeur, guitariste, compositeur-chercheur, entrepreneur, astacologue, écrivain, imprimeur-éditeur-producteur, linguiste, père de famille, chansonnier, politicien très local, brocanteur, bûcheron, agent-couchettes...
Continent – Pays: Europe - Suisse
Info:
5 novembre 2012
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limitation
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quête
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corps-esprit
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symbole
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contingences
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synthèse additive soustractive
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humano solipsisme
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arrêt sur image
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