être humain
L'homme est le plus étrange des animaux. Du coeur des jungles les plus étouffantes jusqu'aux sommets éternellement enneigés, il s'adapte, survit, créé des communautés.
Auteur:
Arleston Christophe
Années: 1963 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: scénariste BD
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Les Forêts d'Opale, Tome 7 : Les dents de pierre
[
malin
]
[
envahissant
]
[
virus
]
contrôle sécuritaire
Cet État se veut si bienveillant envers ses citoyens qu’il entend se substituer à eux dans l’organisation de leur propre vie. Ira-t-il jusqu’à les empêcher de vivre pour mieux les protéger d’eux-mêmes ? (…) Le plus grand soin d’un bon gouvernement devrait être d’habituer peu à peu les peuples à se passer de lui.
Auteur:
Tocqueville Alexis de
Années: 1805 - 1859
Epoque – Courant religieux: préindustriel
Sexe: H
Profession et précisions: homme politique, sociologue et historien
Continent – Pays: Europe - France
Info:
[
envahissant
]
[
individu-collectif
]
[
dérives
]
maman
Ta daronne, Simone Parmentier, est toujours là. Impression tenace. Peu importent les efforts que tu déploies pour l’éviter, ta mère est toujours là. Quand tu pars de l’école, le matin. Le soir quand tu rentres. Le mercredi, où tu voudrais t’amuser un peu, jouir de la liberté comme les autres enfants. Elle est toujours là pour te rappeler, de différentes manières jamais douces, deux principes fondamentaux, piliers de son éducation… Que tu es un très mauvais fils. Et que tu lui appartiens.
Auteur:
Falvo Marc
Années: 1984 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain de polars, dramaturge et scénariste.
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Bloody glove
[
autocrate
]
[
dirigiste
]
[
possessive
]
[
envahissante
]
[
dévalorisation
]
amitié
Je le voyais quelquefois seul. Je faisais tout ce qu’il me demandait. Nous sortions ensemble, mais le terrible était que je sentais très vite qu’il s’ennuyait avec moi.
J’aimais chez Roger qu’il s’ennuyât dès qu’on ne faisait rien. J’étais comme lui, mais alors que je n’osais le montrer, il ne se gênait pas. Je sentais que je devenais pour lui semblable à ces mêmes gens qui m’ennuyaient moi aussi et auxquels il m’assimilait.
- Tu te souviens, quand on était en Belgique, disait quelquefois Roger qui avait l’air de croire que tout était fini, quand il ne savait que dire.
Mon plus grand plaisir était de l’accompagner, mais bien qu’il n’eût rien à faire, il refusait mon offre. Je lui demandais pourquoi. Il ne me répondait pas. Quelquefois, dans la rue, il s’arrêtait soudain et il me disait au revoir. Je croyais qu’il allait partir. Comme il ne bougeait pas, je restais. Il me disait alors :
- Allez, va-t’en.
Je m’éloignais. Quand je me retournais, je le voyais toujours au même endroit, non pas pour me surveiller, car il ne regardait même pas dans ma direction. […] Un jour, il revint sur ses pas, me vit, mais détourna les yeux. Je ne devais plus le revoir.
Auteur:
Bove Emmanuel Bobovnikoff Dugast Vallois
Années: 1898 - 1945
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Non-lieu, Editions Archipoche, Paris, 2025, pages 391-392
[
hommes-entre-eux
]
[
décalage
]
[
disparité
]
[
encombrant
]
[
envahissant
]
[
séparation
]