absurde
Aucun miroir n'a jamais reflété une femme laide.
Auteur:
Proverbe espagnol
Années:
Epoque – Courant religieux:
Sexe:
Profession et précisions:
Continent – Pays: Europe - Espagne
Info:
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mocheté
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humour
Si la laideur était une brique, ton père serait la muraille de chine. Si la laideur est un grain de sable ta mère c'est le Sahara.
Auteur:
Internet
Années: 1985 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: R
Profession et précisions: tous
Continent – Pays: Tous
Info:
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mocheté
]
[
exagération
]
[
insulte
]
portrait
Elle était vêtue d’une robe jaune, ses cheveux étaient ramenés sur sa tête et de ridicules boucles d’oreilles en perles se balançaient au bout de chaînes d’argent. Elle avait un gros cul et elle était forte. Elle éclatait de partout dans cette robe jaune, seins et tout. Ses yeux étaient du vert le plus pâle et le transperçaient. Elle tenait un sac rempli de provisions marqué Vons. Ses lèvres étaient barbouillées de rouge. Peintes, épaisses, elles étaient obscènes, presque laides, une véritable insulte.
Auteur:
Bukowski Charles
Années: 1920 - 1994
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Amérique du nord - Usa
Info:
"L'homme qui aimait les ascenseurs" dans "Je t'aime Albert" page 143
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mauvais goût
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ostentatoire
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personnage
]
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mocheté
]
personnage
À trente ans, Ophélie Labourette supplantait dans la mocheté et la disgrâce les culs de cynocéphales les plus tourmentés. Elle était intensément laide de visage et de corps, et le plus naturellement du monde, c'est-à-dire sans que jamais le moindre camion ne l'eût emboutie, ni qu'un seul virus à séquelles déformantes n'y creusât jamais ses ravages.
Jaillissant de sa tête en poire cloutée de deux globules aux paupières à peine ouvrables, elle imposait un pif patatoïde qu'un duvet noir séparait d'une fente imprécise qui pouvait faire illusion et passer pour une bouche.
Le corps était court et trapu, sottement cylindrique, sans hanches ni taille, ni seins, ni fesses. Une histoire ratée, sans aucun rebondissement. De ce tronc morne s'étiraient quatre maigrelettes ; les membres inférieurs, plus particulièrement, insultaient le regard. Rien ne permettait de discerner la jambe de la cuisse. L'un et l'autre affûtées dans le même moule à bâtons, s'articulaient au milieu par la protubérance insolite d'un galet rotulien trop saillant. Un trait, un point, un trait, c'étaient des jambes de morse. Moins affriolantes que bien des prothèses. Avec, pour seul point commun avec des jambes de femmes, une certaine aptitude à la marche.
Auteur:
Desproges Pierre
Années: 1938 - 1988
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: humoriste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Chroniques de la haine ordinaire 1985
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humour
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mocheté
]