idiome
La trame et la chaîne de toute pensée et de toute recherche sont des symboles, et la vie de la pensée et de la science est la vie inhérente aux symboles ; il est donc faux de dire qu'une bonne langue est importante pour une bonne pensée, simplement, car elle en est l'essence.
Auteur:
Peirce Charles Sanders
Années: 1839 - 1914
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: sémiologue, mathématicien, logicien et philosophe
Continent – Pays: Amérique du nord - Usa
Info:
Charles Sanders Peirce, Nathan Houser (1998). "Peirce Essentiel : Selected Philosophical Writings", p.263, Indiana University Press.
[
mode de pensée
]
[
spécificité
]
[
representamen
]
citation s'appliquant à ce logiciel
A mesure que FLP se développe, structurant et organisant comme il peut les mots/idées et les tiercités sémantiques humaines, on s'aperçoit que certains auteurs (secondéités véritables) pourront être appréciés comme des tiercités ; c'est à dire des sources quasi définies, voire "signifiées". Un peu à l'image de ce que Houellebecq dit de Muray.
Ainsi, à bien les connaitre, certaines personnalités-acteurs-auteurs s'auto-définissent comme "générateurs identifiables" de par leurs styles et leurs idées. Aloysius Lafferty, Céline, Ervin Laszlo, Joubert, Michaux, Joyce, Lacan, etc.. viennent ici à l'esprit.
Auteur:
Mg
Années: 1958 - 20??
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: musicien, compilateur, sémioticien, directeur, guitariste, compositeur-chercheur, entrepreneur, astacologue, écrivain, imprimeur-éditeur-producteur, linguiste, père de famille, chansonnier, politicien très local, brocanteur, bûcheron, agent-couchettes...
Continent – Pays: Europe - Suisse
Info:
29 octobre 2020
[
representamen
]
[
écrivains
]
illusions
Chaque instant de la durée, par exemple, n’existe qu’à la condition de détruire le précédent qui l’a engendré, pour être aussi vite anéanti à son tour ; le passé et l’avenir, l’abstraction faite des suites possibles de ce qu’ils contiennent, sont choses aussi vaines que le plus vain des songes, et il en est de même du présent, limite sans étendue et sans durée entre les deux. Or, nous retrouvons ce même néant dans toutes les autres formes du principe de raison ; nous reconnaîtrons que l’espace aussi bien que le temps, et tout ce qui existe à la fois dans l’espace et dans le temps, bref tout ce qui a une cause ou une fin, tout cela ne possède qu’une réalité purement relative ; la chose, en effet, n’existe qu’en vertu ou en vue d’une autre de même nature qu’elle et soumise ensuite à la même relativité. Cette pensée, dans ce qu’elle a d’essentielle, n’est pas neuve ; c’est en ce sens qu’Héraclite constatait avec mélancolie le flux éternel des choses ; que Platon en rabaissait la réalité au simple devenir, qui n’arrive jamais jusqu’à l’être ; que Spinoza ne voyait en elles que les accidents de la substance unique existant seule éternellement ; que Kant opposait à la chose en soi nos objets de connaissance comme de purs phénomènes.
Auteur:
Schopenhauer Arthur
Années: 1788 - 1860
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: philosophe
Continent – Pays: Europe - Allemagne
Info:
Le monde comme volonté et comme représentation
[
survol philosophique
]
[
representamen
]