cycles
Si l'on considère la matinée comme une enfance pleine de joie, de découvertes et d'apprentissages, l'après-midi comme une plage d'activités sérieuses et productives, le soir comme une méditation sur notre mortalité et une préparation au sommeil, la vie tout entière ne nous effraie plus. Nous cessons de remplir nos jours de tâches inutiles pour combler notre peur de vieillir
Auteur:
Sénèque
Années: 0002 - 0065
Epoque – Courant religieux: Empire romain
Sexe: H
Profession et précisions: précepteur écrivain
Continent – Pays: Europe - Italie
Info:
sa pensée résumée sur la journée parfaite
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journée-vie
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rythme circadien
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nycthémère
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sommeil
Un moyen simple et automatique de sortir de son corps? je dirai.. "aller dormir". J'ai une théorie, parmi de nombreuses, selon laquelle notre vie telle qu'on la conçoit serait en fait complètement inversée : retour dans l'astral (la maison) toutes les nuits (on se réveille là-bas, c'est la vraie vie. C'est à dire : dédoublement du temps) et en fin de journée astrale... on va, en quelque sorte, se coucher et on se réveille dans celle ci, sans la mémoire (c'est une belle illusion), pour poursuivre l'apprentissage. Et si nous étions des gamins/gamines astraux forcé(e)s d'aller tous les jours à l'école dans cet univers ? ce qui pourrait justifier pourquoi certain(e)s ressentent "je ne veux pas y être/aller !". Tout est possible.
Auteur:
Internet
Années: 1985 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: R
Profession et précisions: tous
Continent – Pays: Tous
Info:
Nicolas Dollo, sur le fil FB de Marc auburn
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décorporation
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rythme circadien
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routine journalière
Je commencerai par dire que c'est difficile de parler de ce que les Toscans boivent sans mentionner d'abord ce qu'ils mangent. Disons que la journée d'un Toscan se déroule de la manière suivante : quand il se lève, il prend un caffè ristretto con grappa, un petit café très serré sur lequel il fait le signe de la croix avec un jet de grappa, ce qui remplace la prière du matin. Du laid chaud, du pain ou un cornet à la confiture, voilà de quoi rompre le jeûne de la nuit. Vers neuf heures, au bout de trois heures de travail dans les champs, il boit un verre de vin rouge pour se donner du cœur à l'ouvrage, qu'il accompagne d'un sandwich à la mortadelle. Ensuite, un espresso. Vers midi, un apéritif léger, genre Campiri soda ou prosecco. A une heure, il s'attable avec un litre de rouge à portée de main et prend un bon déjeuner, le repas le plus long de la journée, mais pas forcément très lourd : des crostini, pour commencer, ou du salami, ou du melon, des figues, du fenouil braisé, ou des aubergines. Après, une soupe épaisse ou des haricots à la sauge. Puis un ragoût de lapin aux olives ou du veau ou aux artichauts, pommes de terre sautées, haricots verts à l'ail ou épinards. Pour finir, une grappina, en fait un grand verre de grappa qui fera office de digestif avant la sacro-sainte sieste.
Auteur:
De Blasi Marlena
Années: 1952 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: F
Profession et précisions: chef de cuisine et journaliste, critique gastronomique
Continent – Pays: Amérique du nord - Usa
Info:
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rythme circadien
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nourriture
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