Aimer un seul être rend pourtant tous les êtres aimables, leur accorde de beaux restes. La passion comblée nous rend fugitivement semblables à ce que serait un dieu dans ses meilleurs moments, qui verrait les hommes tels qu'ils sont, et les aimerait pour ce qu'ils sont, malgré ce qu'ils sont.
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Info: Le malheur d'aimer, p.117, Folio no580
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