[...] il y a toujours dans le deuil du pauvre quelque chose qui manque, une absence d'harmonie qui le rend plus navrant. Il est contraint de lésiner sur sa douleur. Le riche porte la sienne au grand complet.
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Info: Le Spleen de Paris, Oeuvres complètes I, la Pléiade, nrf Gallimard 1975<p.293>
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