flatterie

Les louanges, quoique fausses, quoique ridicules, quoique non crues, ni par celui qui loue, ni par celui qui est loué, ne laissent pas de plaire et, si elles [sic] ne plaisent par autre motif, elles plaîsentt au moins par la dépendance, et par l'assujettissement de celui qui loue.

Auteur: Domat Jean

Info: Pensées, Moralistes du XVIIe siècle, Robert Laffont-Bouquins 1992<27 p.611>

 

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