J'ai écrit un jour ou l'autre, il y a longtemps, qu'il n'y a pas de bon pouvoir. Le pouvoir est le pouvoir, il fait de toi ce qu'il veut, dès que tu crois l'avoir conquis. Quelles qu'aient été tes intentions, ton idéal, tu es prisonnier de la férocité des factions et de la connerie de la foule.
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Info: La belle fille sur le tas d'ordures, L'Archipel 1991 <p.16>
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