mort

[...] combien ce serait beau si, pour chaque mer qui nous attend, il y avait un fleuve pour nous. Et quelqu'un - un père, un amour, quelqu'un - capable de nous prendre par la main et de trouver ce fleuve - l'imaginer, l'inventer - et nous poser dans son courant, avec la légèreté de ce seul mot, adieu.

Auteur: Baricco Alessandro

Info: Océan Mer, p.66, Albin Michel

[ océanique ]

 

Commentaires: 0

Commentaires

No comments