Et si la mort n'existait pas, par quoi remplacerait-on la douleur de la séparation ? Serait-ce la seule vertu de la mort : satisfaire ce besoin, en nous, de la plus grande des douleurs, sans laquelle nous ne mériterions pas d'être appelés des hommes ?
Auteur:
Info: Le coeur secret de l'horloge, p.119, Éd. Livre de Poche, Biblio no3287
Commentaires: 0