Les paysages sont essentiellement musicaux. La montagne, que je regardais dans l'espoir d'y trouver Dieu, c'est Jean-Sébastien Bach. Plus on monte, moins on voit ce qu'il y a dessous; plus la hauteur devient propice à se retrouver soi-même. Le cours d'eau, c'est le legato. Le serpent, le mouvement continu et ininterrompu.
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Info: Variations sauvages, p.79, Pocket n°12304
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