Je ne peux écouter souvent la musique, dit-il, j'ai envie de dire de gentilles sottises, de caresser la tête des gens qui, vivant dans cet enfer de boue, peuvent créer une telle beauté. Or, aujourd'hui, il ne faut caresser personne, on aurait la main mordue ; il faut frapper, frapper les têtes sans pitié, bien qu'en principe nous soyons contre toute violence exercée sur les individus. Oui... le devoir est extrêmement difficile.
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Info: cité par Maxime Gorki, Le Monde, 16 décembre 1997
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