Il nous arrive de moquer les Italiens pour le culte outrancier qu'ils vouent à leurs "campionissimi", leur partialité exclusive, leur mauvaise foi. Heureux "campionissimi" ! Pareille chose ne risque pas d'arriver à nos champions. Non, certes, que nous n'ayons besoin d'idoles, comme tout le monde. Nous savons même fort bien nous en forger quand le besoin s'en fait sentir. Mais nous avons trop d'esprit pour accepter généreusement d'être l'esclave de nos admirations. Le Français, né malin, a peur d'être dupe.
Auteur:
Info: p.1031
Commentaires: 1
Coli Masson
21.07.2020
Bizarres les infos