poème

Ô Amour, nourris-toi de pommes autant que tu le peux, Goûte le soleil et va dans tes royaux atours, Innocent souriant sur la céleste chaussée, Même si une oreille horrifiée guette le cri Qui tristement s'élève dans les airs, La bête aveugle et stupide, la fureur paranoïaque.

Auteur: Graves Robert Ranke

Info: Maladie d'amour

[ inquiétude ] [ menace ]

 

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