pensées-misogyne

Une dame disait un jour devant moi, d'elle-même, comme la chose la plus naturelle du monde :
- Je ne pense jamais, cela me fatigue ; - ou, si je pense, je ne pense à rien.
Comme dit Hugo : ceci est grand jusqu'au sublime.

Auteur: Courteline Georges

Info: Philosophie

 

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