A chaque blessure que recevait un gladiateur, le peuple criait, en battant des mains : hoc habet ; et, lorsque ce gladiateur, étendu sur l'arène et percé de coups, demandait quartier, son adversaire s'arrêtait et regardait le peuple, qui souvent lui ordonnait d'achever d'ôter la vie au malheureux vaincu.
Auteur:
Info:
Commentaires: 0