Les bois se travaillent dans les cours par les forçats, qui sont là comme par toute la ville de Marseille en liberté, à cela près qu'ils sont enchaînés trois à trois, deux chrétiens et un turc ; ce dernier, étant dans l'impossibilité de se sauver, pour être trop reconnaissable et ne savoir pas la langue, empêche les autres de s'échapper.
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Info: Lettres sur l'Italie, 15 juin 1739
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