Sade ne commettait ses crimes qu'en imagination, comme une façon de se libérer de ses pulsions meurtrières. L'imagination peut se permettre toutes les libertés. Passer à l'acte est autre chose. L'imagination est libre ; l'homme, non.
Auteur:
Info: Mon dernier soupir, R Laffont 1982, p. 43
Commentaires: 0