Madame Guinéa a répondu à ma lettre par une invitation à déjeuner. C'est chez elle que j'avais vu un rince-doigts pour la première fois.
Quelques pétales de cerisier flottaient dans l'eau et j'ai cru que ce devait être une sorte de bouillon japonais qui se boit après le repas. J'avais tout bu, y compris les fleurs de cerisier. Madame Guinéa n'a pas soufflé mot, et ce n'est que bien plus tard en bavardant avec une nouvelle au collège que j'ai découvert mon erreur.
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Info: La cloche de détresse
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