Civilisées, correctes, les eaux portuaires se tinrent tranquilles jusqu'aux deux phares dressés comme une paire d'obélisques ouvrant à la haute mer ; dès lors, elles se permirent des allusions à leur puissance, dès lors cela commença de s'agiter. Sous l'effet du mouvement, des premiers entrechocs, des frissons nerveux parcourant la carcasse du navire, les timbres se dévissèrent sur les guidons chinois qui bientôt firent troupeau, sonnaillant désordonnément.
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Info: l'équipée malaise
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