Il avait déjà remarqué ça, dix ans auparavant, lorsque L.F. était mort d'une crise d'asthme dans le parc du lycée. Le frisson d'excitation qui envahit les gens quand arrive une catastrophe, une excitation qu'ils n'admettront jamais, mais qui danse dans leurs yeux quand ils affirment qu'ils sont atterrés.
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Info: les Radley, p. 312
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