Tandis que l'homme croît, la vie est en décroissance ; et chaque mouvement de notre berceau nous approche de la tombe. Notre naissance n'est autre chose que le commencement de notre mort, comme la bougie se fond dès l'instant qu'elle est allumée.
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Info: Les beautés poétiques, p.129, trad. Bertrand Barère, Éd. F. Buisson, Paris, 1804
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