[...] Tous les arts, toutes les sciences, sans exception, doivent leur extension à cet amour inné dans l'homme du beau et du parfait. Ils ne seraient jamais parvenus à ce degré de splendeur où nous les voyons en Europe, si on les avait circonscrits dans ce qui est utile et nécessaire selon la stricte acception du mot.
Auteur:
Info: De l'alliance du beau et de l'utile in Mélanges littéraires, politiques et morceaux inédits, p.66, trad. A. Loève-Veimars et Saint-Maurice, éd. Vernarel et Tenon, Paris, 1824
Commentaires: 0