[...] Les vieillards déclinent par degrés, et voient la renommée de leur jeunesse se perdre dans l'oubli ; ils tombent dans le secret, et souvent ils n'ont plus de fils pour les pleurer. L'indifférence conduit leurs funérailles, et la pierre qui doit conserver leurs noms est posée sans larmes !
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Info: Poèmes Gaéliques recueillis par James Mac-Pherson, p.148, trad. P. Christian, Librairie Hachette, 1872
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