[...] Apporte-moi ma harpe. Le désir de chanter vient comme un reflet de lumière fugitive, réchauffer mon âme sombre : car mon âme est triste comme la plaine, lorsque l'obscurité couvre les collines d'alentour, et s'entend par degrés sur les champs qu'éclairait le soleil.
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Info: Poèmes Gaéliques recueillis par James Mac-Pherson, p.71, trad. P. Christian, Librairie Hachette, 1872
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