Alors les femmes restèrent seules. Sur le versant silencieux de la guerre : non pas sous l'orage d'acier mais dans le ruissellement des pleurs, loin du pétillement de la bataille mais dans l'attente anxieuse de ses effets, là où se froisse un visage quand arrive un papier timbré, où une larme se fraye son chemin dans une chevelure jusqu'à l'oreiller.
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Info: Dans la guerre
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