Il pense qu'il doit inventer son propre artisanat adapté aux romans qu'il veut écrire :[...]
Il faut penser à l'histoire comme à un être vivant : le squelette d'abord qui est l'intrigue et qui fait tenir le récit debout. Ensuite se greffent les organes qui sont les grandes scènes qui font circuler le sang, l'air et les hormones dans l'intrigue. Puis viennent les muscles : les petites scènes qui transmettent la tension de l'histoire. Ensuite, quand le squelette est équilibré, que les organes fonctionnent, que les musclent donnent la force, on peut poser sur l'ensemble la peau, comme une toile qui enveloppe le tout pour qu'on ne voie pas ce qui vit dessous.
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Info: Le rire du cyclope
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