Finkielkraut a bien raison aussi de dire que l'antiracisme sera au XXIe siècle ce que fut le communisme au XXe, c'est-à-dire une nouvelle religion de substitution qui persécute et terrorise, mais dans la langue de l'amour et de l'égalité. Là où il a eu tort, à mon avis, c'est d'exposer tout cela sous forme d'entretien hâtif, au risque d'être encore simplifié par la meute des vigilants de la persécution vertueuse toujours en quête d'os à ronger, quand il serait si urgent de les mettre une bonne fois à la diète.
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