Il a, dit-on, trois maîtresses : une irlandaise, une américaine et Suzanne, la française qui deviendra sa femme.
C'est peut-être à cette époque qu'il lit la correspondance de Juliette Drouet à Victor Hugo et recopie dans son petit carnet :
"Mon coeur répugne avec terreur et dégoût à cette espèce de compromis, humiliant pour la dignité, odieux pour l'âme, qui consiste à faire deux parts de soi-même, l'une pour les qualités physiques, l'autre pour l'affection".
Auteur:
Info: Les Vies silencieuses de Samuel Beckett, p 36
Commentaires: 0