Mais le plus fort, c'est que les violeurs se considèrent comme des victimes, ils sont les "héros" à plaindre, ceux qui sont sous les verrous, parce qu'ils ont été "donnés". Pourtant, si on leur demande ce qu'ils feraient si un gars violait leur petite soeur, ils répondent sans hésitation: "Je le flingue !" Elle n'est pas à se taper la tête contre les murs, cette logique ?
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Info: Dans l'enfer des tournantes
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