Adossé à la cloison, il me dévisage, semblant me jauger de ses prunelles noires. Physiquement, c'est encore un gosse, mais on sent d'emblée qu'il est dangereux. Comme j'aurais aimé avoir cette assurance tranquille des êtres dont le courage est une seconde peau.
Auteur:
Info: Le chant des psycho morphes
Commentaires: 0