La coupe est pleine à déborder
Nous étouffons sans liberté,
Sans joie... La nuit n'a pas de fin...
Ah! Que l'orage éclate enfin!
Qu'il soulève les mers profondes!
Sur les champs, qu'il siffle, qu'il gronde!
Et cette coupe trop amère,
Ah! qu'il la vide tout entière!
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