En Italie d'ailleurs, Dieu recevait, lors de la constitution d'une société commerciale, une part dans l'entreprise.
Associé, Dieu avait un compte ouvert, recevait sa part des bénéfices portés sur les livres au nom de "Messer le Bon Dieu", "Messer Domeneddio" ; et, en cas de faillite, il était payé en priorité lors de la liquidation.
On peut voir dans les livres des Bardi qu'en 1310 Dieu reçoit 864 livres 14 sous.
Dieu, c'est-à-dire les pauvres qui le représentaient sur terre.
Auteur:
Info: Marchands et banquiers du Moyen Âge
Commentaires: 0