Aussi nourrit-elle [la femme pashtoune] son image de ce qui ne peut lui être interdit : la nature qui l'entoure. Elle est simple et sans complexité, comme le dessin des plaines nues. Elle est pure, limpide, et impétueuse, comme les torrents des vallées rocheuses. Elle est belle, imposante, et dure, comme la montagne aux reflets bleus de l'Hindoukouch.
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Info: Le suicide et le chant
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